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Critique de TiaRosam


Nancy est une jeune fille qui n'est pas encore entrée dans l'adolescence. Elle a encore des yeux d'enfant mais avec une conscience qui va plus loin que son âge. Elle interpète le monde autour d'elle, il n'est pas ce qu'il parait... le monde ne tourne pas non plus comme elle le pense. Entre les faits, ce qu'ils signifient et ce qu'elle interprète, il y a un univers.

Elle est amoureuse de son papa, elle ne comprend ni sa maman qui semble très liée au docteur Croc (l'orthodontiste), ni son grand frère Igor en plein crise d'adolescence, et ne sait décidément pas expliquer tout ça à Mme Blin, son orthophoniste-psychologue.

La quatrième de couverture, que j'ai lue par après, met en évidence des étapes cruciales du roman où la main de chaque personnage joue un rôle capital. Je ne m'en étais pas rendue compte pendant la lecture mais mis bout-à-bout, c'est frappant.
La main est généralement considérée comme un symbole de puissance. Elle est un instrument de maîtrise, un signe de domination. (v.Le dictionnaire des symboles / Chevalier et Gheerbrant)

Dans cette quatrième de couverture, notre héroïne n'utilise que son petit doigt. Se laisserait-elle dominer par tous les autres personnages et par ce monde compliqué? Va-t-elle se laisser faire?
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