Pas franchement emballé par la « naissance de Venom », ce «
Venom Rex » relève le niveau en développant la mythologie autour des symbiotes à un tout autre niveau.
Le traitement d'Eddie Brock aussi est différent. le personnage a évolué vers une humanité plus nette et plus saine. Il devient alors un héros à part entière jusqu'au sacrifice de sa chair.
La relation entre Eddie Brock et son symbiote aussi est approfondie et remodelée à l'émotion. Un véritable lien se tisse, bien plus élaboré qu'un simple lien de dépendance entre un hôte volontaire et un parasite.
Comme quoi, l'appréciation d'un personnage dépend pour une grande part des artistes et de l'approche choisie. Au point que je me laisserais bien tenté par la suite de ce récit proposé par
Donny Cates et
Ryan Stegman, ne serait-ce que pour lever ce cliffhanger à la fin de la sixième partie.
Commenter  J’apprécie         00