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Critique de Radwan74
Chesterfield et Blutch se retrouvent pour une (la ?) première fois emprisonné dans un camp de l'armée sudiste. Évidemment, les gags récurent (et drôles) du récit, ce sont les multiples tentatives d'évasions des deux compères qui ratent à chaque fois - pas aidés par la chance il faut le dire. À noter que l'on découvre à cette occasion un Chesterfield plutôt débrouillard et inventif et un Blutch prêt à prendre des risques.
On trouve également un personnage plein d'humour à son insu et que l'on aime se prendre des coups : Cancrelat, un officier confédéré qu'il faut bien reconnaître être une vraie tête à claque qui subira les coups du sergent et du caporal nordistes.
La prison est peut-être vue de façon un peu trop douce malgré les propos de Chesterfield en début d'album ; Lambil et Cauvin profitent souvent de leurs histoires pour mettre un peu « d'histoire » et de réalisme dans le récit mais ici, ils se réservent sur les gags et sur Cancrelat qui monopolisent toutes les (mauvaises) intentions.
On trouve également un personnage plein d'humour à son insu et que l'on aime se prendre des coups : Cancrelat, un officier confédéré qu'il faut bien reconnaître être une vraie tête à claque qui subira les coups du sergent et du caporal nordistes.
La prison est peut-être vue de façon un peu trop douce malgré les propos de Chesterfield en début d'album ; Lambil et Cauvin profitent souvent de leurs histoires pour mettre un peu « d'histoire » et de réalisme dans le récit mais ici, ils se réservent sur les gags et sur Cancrelat qui monopolisent toutes les (mauvaises) intentions.
