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Critique de laetitiaflagothier
( 18/12/2018 )
Avec " La princesse qui aimait la chenille " j'ai eu le bonheur de renouer avec de la littérature. Domaine que j'avais un peu délaissé pour des livres plus psy, philo et sur la nature ( Je leur consacrerai une petite notice ultérieurement comme à chaque fois ;-) ).
C'est donc plongée dans les contes japonais que j'ai passé ces quelques heures de lectures. Des contes où j'ai retrouvé une ambiance à la fois crue et poétique qui pour moi, caractérisent la littérature japonnaise.
Ce petit livre est constitué de quelques contes populaires très en lien avec la nature et ses esprits. J'ai aimé ces contes qui m'emmenaient dans un monastère, des palais, dans un village sans enfant, dans les bois comme dans la mer où avaient lieu des rencontres parfois effrayantes ou fantastiques pour les héros.
J'avoue que mes deux préférés parmis les contes proposés furent " Hôichi sans oreiles " et celui dont le livre porte le nom. Pour Hôchi, l'intensité de l'écriture m'a émue et pour " La princesse qui aimait la chenille ", c'est la morale qui en découle qui m'a touchée....
Autant dire que j'apprécie de plus en plus ces découvertes littéraires venant du soleil levant :-).
Avec " La princesse qui aimait la chenille " j'ai eu le bonheur de renouer avec de la littérature. Domaine que j'avais un peu délaissé pour des livres plus psy, philo et sur la nature ( Je leur consacrerai une petite notice ultérieurement comme à chaque fois ;-) ).
C'est donc plongée dans les contes japonais que j'ai passé ces quelques heures de lectures. Des contes où j'ai retrouvé une ambiance à la fois crue et poétique qui pour moi, caractérisent la littérature japonnaise.
Ce petit livre est constitué de quelques contes populaires très en lien avec la nature et ses esprits. J'ai aimé ces contes qui m'emmenaient dans un monastère, des palais, dans un village sans enfant, dans les bois comme dans la mer où avaient lieu des rencontres parfois effrayantes ou fantastiques pour les héros.
J'avoue que mes deux préférés parmis les contes proposés furent " Hôichi sans oreiles " et celui dont le livre porte le nom. Pour Hôchi, l'intensité de l'écriture m'a émue et pour " La princesse qui aimait la chenille ", c'est la morale qui en découle qui m'a touchée....
Autant dire que j'apprécie de plus en plus ces découvertes littéraires venant du soleil levant :-).
