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Critique de Duluoz
Toute la verve de Cendrars dans ces deux nouvelles (Vol à voile et Une nuit dans la forêt) décousues et foutraques comme notre auteur qui passe avec son aisance coutumière "du coq à l'âne" et nous transpose d'un pays à l'autre d'un simple coup de pouce; celui de la main manquante peut-être tant rien ne lui parait impossible. Alors, laissez vous embarquer "et vogue le navire" et ne demandez qu'a le croire sur parole...foi d'ivrogne.
