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Critique de saigneurdeguerre
Pauvre Mandy ! du haut de tes dix-sept ans, dans quelle aventure, pleine d'embûches t'es-tu lancée ? Garder des enfants pour gagner un peu d'argent ! Quelle folie ! Surtout avec un loustic comme Mathis !
Et tes études ? Dis, tu y penses à tes études ? le BAC, ça te parle ? Tu ne penses pas qu'il y a mieux à faire que d'aller faire la nounou, la nanny, la Mandy, auprès d'un gamin insupportable et jaloux qui refuse de renoncer à son statut privilégié et égoïste d'enfant unique ?
Oui, oui, sa maman est débordée et enceinte… Mais quelle idée aussi, à peine un an après son divorce, de se retrouver avec un polichinelle dans le tiroir ! Jamais entendu parler de contraception, celle-là ?
Ok ! Ok ! C'est bon ! Je me tais. C'est toi qui vois… Mais faudra pas venir pleurer si tu rates ton BAC !!!
Critique :
Ne riez pas ! Ne vous moquez pas de moi ! J'ai honte ! Oui, j'ai lu cette BD on ne peut plus « feel good », voire même un peu « girly » … Et j'ai adoré !!!
« Ouille ! Pauvre homme ! Une victime de plus de la canicule ! le soleil a trop tapé sur sa cafetière engendrant des brûlures qui racrapotent la matière grise qui lui restait jusqu'à en faire une particule d'atome ! » diront ceux qui me connaissent un peu et qui savent que je me nourris plutôt de grandes batailles épiques et de coups tordus.
Oui, oui ! Mais que voulez-vous, même dans la plus sombre des brutes, il arrive qu'il reste un fond d'humanité qui lui permette d'apprécier une histoire bien construite parfumée à l'eau de rose telle que celle de « Nanny Mandy » où Joris Chamblain nous sort une histoire devenue classique, celle d'un divorce, d'une famille recomposée, de l'arrivée d'un bébé qui suscite craintes de l'abandon pour l'enfant unique et l'intervention d'une charmante jeune fille pétrie de bonnes intentions. Avec autant de banalités, Joris Chamblain arrive à créer une histoire pleine d'humanité (dans ce qu'elle a de plus beau) et à nous faire entrer dans la peau des personnages, même s'ils n'ont que cinq ans pour certains. Il faut dire qu'il est aidé de magistrale façon par les dessins originaux de Pacotine qui a une « patte » digne des meilleurs illustrateurs. Mais l'oeuvre ne serait pas complète sans les splendides couleurs de Virginie Blancher, qui nous inonde de tons pastel d'une pureté et d'une légèreté à faire vibrer les poils du plus farouche des guerriers. (Pour ce qui est des poils du farouche guerrier, je ne suis pas sûr à 100 % !)
Bref ! Une découverte somptueuse que je recommande (même aux farouches guerriers) qui ont su garder, paumé quelque part, un coeur de pure jeune fille !
Et tes études ? Dis, tu y penses à tes études ? le BAC, ça te parle ? Tu ne penses pas qu'il y a mieux à faire que d'aller faire la nounou, la nanny, la Mandy, auprès d'un gamin insupportable et jaloux qui refuse de renoncer à son statut privilégié et égoïste d'enfant unique ?
Oui, oui, sa maman est débordée et enceinte… Mais quelle idée aussi, à peine un an après son divorce, de se retrouver avec un polichinelle dans le tiroir ! Jamais entendu parler de contraception, celle-là ?
Ok ! Ok ! C'est bon ! Je me tais. C'est toi qui vois… Mais faudra pas venir pleurer si tu rates ton BAC !!!
Critique :
Ne riez pas ! Ne vous moquez pas de moi ! J'ai honte ! Oui, j'ai lu cette BD on ne peut plus « feel good », voire même un peu « girly » … Et j'ai adoré !!!
« Ouille ! Pauvre homme ! Une victime de plus de la canicule ! le soleil a trop tapé sur sa cafetière engendrant des brûlures qui racrapotent la matière grise qui lui restait jusqu'à en faire une particule d'atome ! » diront ceux qui me connaissent un peu et qui savent que je me nourris plutôt de grandes batailles épiques et de coups tordus.
Oui, oui ! Mais que voulez-vous, même dans la plus sombre des brutes, il arrive qu'il reste un fond d'humanité qui lui permette d'apprécier une histoire bien construite parfumée à l'eau de rose telle que celle de « Nanny Mandy » où Joris Chamblain nous sort une histoire devenue classique, celle d'un divorce, d'une famille recomposée, de l'arrivée d'un bébé qui suscite craintes de l'abandon pour l'enfant unique et l'intervention d'une charmante jeune fille pétrie de bonnes intentions. Avec autant de banalités, Joris Chamblain arrive à créer une histoire pleine d'humanité (dans ce qu'elle a de plus beau) et à nous faire entrer dans la peau des personnages, même s'ils n'ont que cinq ans pour certains. Il faut dire qu'il est aidé de magistrale façon par les dessins originaux de Pacotine qui a une « patte » digne des meilleurs illustrateurs. Mais l'oeuvre ne serait pas complète sans les splendides couleurs de Virginie Blancher, qui nous inonde de tons pastel d'une pureté et d'une légèreté à faire vibrer les poils du plus farouche des guerriers. (Pour ce qui est des poils du farouche guerrier, je ne suis pas sûr à 100 % !)
Bref ! Une découverte somptueuse que je recommande (même aux farouches guerriers) qui ont su garder, paumé quelque part, un coeur de pure jeune fille !
