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Critique de Ambages


Un Marlowe amoureux ? A n'y rien comprendre. L'aime-t-elle aussi...? J'en reviens pas de ces petites étincelles qui brillent au fond de ses yeux. Il partait sur une affaire qui semblait simple. Une belle femme qu'il doit suivre et faire son rapport à l'avocat qui le mandate. Une femme qui bouquine dans une gare. Facile à repérer. Qui se fait ennuyer par un type ronflant. Marlowe épie, un journal devant le visage pour s'apercevoir que la poulette semble connaître le type. Elle reprend un train. Marlowe monte dedans et descend comme elle dans une ville pour prendre une chambre dans un motel où le réceptionniste est bien amoureux de la petite qui travaille dans ce motel. Décidément, l'amour toujours... Il regarde, écoute, parle et fait parler. Et il comprend. L'avocat lui demande son rapport, Marlowe n'a qu'une idée en tête... musique douce. « Si vous alliez vous faire cuire un boeuf ! » monsieur l'avocat. Il raccroche.
Un Chandler gentil. J'en veux toujours pour ces titres traduits qui ne me parlent pas. L'original avait plus de mordant « Play back ». Et ça voulait dire quelque chose, en tout cas j'y trouve un sens en ayant lu l'histoire. Mais « Charades pour écroulés », franchement !
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