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Critique de Khalya
Je n'ai pas attendu longtemps avant de me plonger dans ce tome 2. Juste le temps de lire un autre livre, car j'éprouvais le besoin de faire une coupure entre les deux tomes (mais un petit livre, hein).
Dans cette suite et fin de Dividing Eden, j'ai continué à me méfier de beaucoup de monde (en priant pour ne pas me tromper sur les personnes, plutôt rares, à qui j'avais accordé ma confiance).
Et malgré le fait que je me méfiais de 90% des personnages du roman, certaines révélations m'ont quand même prises par surprise, notamment une que je n'avais pas, mais alors vraiment pas, vu venir.
Mais sinon, on peut dire que j'avais plutôt bien placé ma confiance. En revanche, parmi ceux dont je me méfiais, il y en a qui se sont révélés encore pires que dans mes plus noires prédictions.
J'ai bien aimé, du côté de Carys, qu'elle embrasse son rôle de leader et qu'elle ne se laisse ni manipuler, ni détourner de ses décisions; et du côté d'Andreus, j'ai apprécié qu'il se remette en question et porte un regard très critique sur ses actions passées.
Dans ce second tome, les chapitres alternent un bon moment entre Carys et Andreus et, comme ils ont tous les deux du pain sur la planche, le rythme est intense et on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer.
Contrairement à beaucoup de romans de fantasy estampillés jeunesse ou Young Adult, ici, on n'a vraiment aucune certitude quant à la survie des personnages, qu'ils soient principaux ou secondaires.
La résolution de tout s'accélère dans les 20/30 dernières pages, peut-être un peu trop, d'ailleurs.
La fin termine bien la duologie tout en laissant une porte entrouverte, histoire de réveiller un peu l'imagination des lecteurs.
Parfois j'aurais aimé en savoir plus sur l'univers, sur le passé du royaume, sur les contrées l'entourant, sur la mythologie des sept vertus... mais je comprend le choix de l'auteur de ne faire qu'une duologie et d'avoir ainsi privilégié l'action à la description.
Dans cette suite et fin de Dividing Eden, j'ai continué à me méfier de beaucoup de monde (en priant pour ne pas me tromper sur les personnes, plutôt rares, à qui j'avais accordé ma confiance).
Et malgré le fait que je me méfiais de 90% des personnages du roman, certaines révélations m'ont quand même prises par surprise, notamment une que je n'avais pas, mais alors vraiment pas, vu venir.
Mais sinon, on peut dire que j'avais plutôt bien placé ma confiance. En revanche, parmi ceux dont je me méfiais, il y en a qui se sont révélés encore pires que dans mes plus noires prédictions.
J'ai bien aimé, du côté de Carys, qu'elle embrasse son rôle de leader et qu'elle ne se laisse ni manipuler, ni détourner de ses décisions; et du côté d'Andreus, j'ai apprécié qu'il se remette en question et porte un regard très critique sur ses actions passées.
Dans ce second tome, les chapitres alternent un bon moment entre Carys et Andreus et, comme ils ont tous les deux du pain sur la planche, le rythme est intense et on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer.
Contrairement à beaucoup de romans de fantasy estampillés jeunesse ou Young Adult, ici, on n'a vraiment aucune certitude quant à la survie des personnages, qu'ils soient principaux ou secondaires.
La résolution de tout s'accélère dans les 20/30 dernières pages, peut-être un peu trop, d'ailleurs.
La fin termine bien la duologie tout en laissant une porte entrouverte, histoire de réveiller un peu l'imagination des lecteurs.
Parfois j'aurais aimé en savoir plus sur l'univers, sur le passé du royaume, sur les contrées l'entourant, sur la mythologie des sept vertus... mais je comprend le choix de l'auteur de ne faire qu'une duologie et d'avoir ainsi privilégié l'action à la description.
