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Critique de umezzu
On m'a prêté ce roman policier en me le conseillant, et, franchement, ces Inconditionnelles valent le détour.
La police bénéficie d'une (bonne) information après une série d‘enlèvements d'enfants dans le même secteur : l'endroit où sont détenues trois jeunes filles du même âge est localisé, investi et leur geôlier est tué lors de l'opération. Fin des évènements ?
Non, et pour personne.
Les trois gamines reviennent dans leurs foyers meurtries : une est mourante, l'autre est traumatisée, la troisième, capturée plus tardivement, n'a semble t-il pas été touchée. Trois enfances brisées.
Leurs mères sont effondrées. Comment survivre à ces évènements ? Comment rétablir la communication, la confiance dans le monde des adultes ?
La capitaine Silkes Valles, chargée de l'enquête, revoit tout, refait le film du kidnapping. Et tout ne se met pas en place. L'homme tué lors de l'assaut de la police agissait-il seul ? Elle en doute, même si sa hiérarchie veut la voir clore le dossier au plus tôt.
Marlène Charine installe le lecteur dans les pensées des mères : Garance, Cora et Blandine. Trois personnalités dissemblables, d'origines sociales différentes, mais qui toutes n'ont en tête que leur enfant. Des mères cassées, poussées à bout. Comment vont-elles réagir ?
Ce que les gamines lâchent peu à peu, insinue le doute dans l'esprit de la policière, Silkes. Elle s'acharne, mais ce faisant, elle diffuse aussi ses interrogations aux mères. La suite sera terrible.
Ce roman, bien construit, très psychologique, est une bonne surprise.
La police bénéficie d'une (bonne) information après une série d‘enlèvements d'enfants dans le même secteur : l'endroit où sont détenues trois jeunes filles du même âge est localisé, investi et leur geôlier est tué lors de l'opération. Fin des évènements ?
Non, et pour personne.
Les trois gamines reviennent dans leurs foyers meurtries : une est mourante, l'autre est traumatisée, la troisième, capturée plus tardivement, n'a semble t-il pas été touchée. Trois enfances brisées.
Leurs mères sont effondrées. Comment survivre à ces évènements ? Comment rétablir la communication, la confiance dans le monde des adultes ?
La capitaine Silkes Valles, chargée de l'enquête, revoit tout, refait le film du kidnapping. Et tout ne se met pas en place. L'homme tué lors de l'assaut de la police agissait-il seul ? Elle en doute, même si sa hiérarchie veut la voir clore le dossier au plus tôt.
Marlène Charine installe le lecteur dans les pensées des mères : Garance, Cora et Blandine. Trois personnalités dissemblables, d'origines sociales différentes, mais qui toutes n'ont en tête que leur enfant. Des mères cassées, poussées à bout. Comment vont-elles réagir ?
Ce que les gamines lâchent peu à peu, insinue le doute dans l'esprit de la policière, Silkes. Elle s'acharne, mais ce faisant, elle diffuse aussi ses interrogations aux mères. La suite sera terrible.
Ce roman, bien construit, très psychologique, est une bonne surprise.
