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Critique de BazaR
Décidément je trouve cette série de plus en plus remarquable (et pourtant c'est une relecture).
L'épisode tourne autour du siège de la ville de Québec par les troupes britanniques (le premier régiment écossais y participe) commandées par le maladif et brillant stratège James Wolfe. A Québec, c'est Montcalm qui fait face. L'épisode de la guerre de Sept Ans attire du monde célèbre, ou qui le deviendra : Cook dans un camp, Bougainville dans l'autre.
Toutes les horreurs d'un siège nous sont montrées : l'intendant qui réquisitionne pour lui-même les meilleures victuailles parvenant encore en ville, les bombardements, les gens qui meurent dans les maisons enflammées ou écrasés par des chevaux pris de folie, les combats qui finissent au corps à corps dans la boue, le massacre des survivants qui ne sont pas nobles.
Wolfe n'a pas autant de succès dans ce premier temps. Il n'est pas aimé par ses subordonnés et il a du mal à tenir ses troupes. En face, Montcalm mérite son nom vu la sérénité avec laquelle il affronte une situation plus mal engagée.
Maryse et Jean-François Charles mêle comme d'habitude la petite histoire à la grande avec brio. Benjamin a quitté Louise pour la venger du viol qu'elle a subi, et elle ne lui pardonne pas d'être parti alors qu'elle avait tant besoin de lui. Benjamin est à Québec. Il s'est fait le gigolo d'une dame noble bien en vue afin de démasquer le violeur qui a perdu durant le viol la croix de Saint Louis, ce qui place ce dernier dans la haute aristocratie. Il progresse, se trompe, risque sa peau. Et pour bien corser le tout, ce violeur aurait des accointances avec l'ennemi en habit rouge.
Je trouve toujours formidable d'apprendre des pages d'Histoire au sein d'un récit romancé aux personnages forts, qu'ils aient existé ou pas. Et les Pionniers du Nouveau Monde sont vraiment au top dans ce domaine.
L'épisode tourne autour du siège de la ville de Québec par les troupes britanniques (le premier régiment écossais y participe) commandées par le maladif et brillant stratège James Wolfe. A Québec, c'est Montcalm qui fait face. L'épisode de la guerre de Sept Ans attire du monde célèbre, ou qui le deviendra : Cook dans un camp, Bougainville dans l'autre.
Toutes les horreurs d'un siège nous sont montrées : l'intendant qui réquisitionne pour lui-même les meilleures victuailles parvenant encore en ville, les bombardements, les gens qui meurent dans les maisons enflammées ou écrasés par des chevaux pris de folie, les combats qui finissent au corps à corps dans la boue, le massacre des survivants qui ne sont pas nobles.
Wolfe n'a pas autant de succès dans ce premier temps. Il n'est pas aimé par ses subordonnés et il a du mal à tenir ses troupes. En face, Montcalm mérite son nom vu la sérénité avec laquelle il affronte une situation plus mal engagée.
Maryse et Jean-François Charles mêle comme d'habitude la petite histoire à la grande avec brio. Benjamin a quitté Louise pour la venger du viol qu'elle a subi, et elle ne lui pardonne pas d'être parti alors qu'elle avait tant besoin de lui. Benjamin est à Québec. Il s'est fait le gigolo d'une dame noble bien en vue afin de démasquer le violeur qui a perdu durant le viol la croix de Saint Louis, ce qui place ce dernier dans la haute aristocratie. Il progresse, se trompe, risque sa peau. Et pour bien corser le tout, ce violeur aurait des accointances avec l'ennemi en habit rouge.
Je trouve toujours formidable d'apprendre des pages d'Histoire au sein d'un récit romancé aux personnages forts, qu'ils aient existé ou pas. Et les Pionniers du Nouveau Monde sont vraiment au top dans ce domaine.
