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Critique de AudreyT
Tous les fans sont persuadés de connaître leur idole comme personne. Les articles des journalistes, les interviews, les images volées des paparazzi, chaque source est digne d'intérêts. Elisabeth le sait, elle s'est préparée. Mais quand Lana del Rey entre dans la lumière, quand elle rencontre enfin son public, elle comprend que sa carapace ne la protègera pas autant qu'elle l'imaginait. Qu'il s'agisse de son passé ou de l'image qu'on lui colle à la peau, elle va devoir affronter le monde, et accepter les ombres…
Le dernier roman de Marie Charrel, La fille de Lake Placid, est une petite pépite. Sa lecture est comme une bouffée d'oxygène, un moment suspendu, quelques heures volées au temps. Marie Charrel une fois encore, place ses mots comme une mélodie. Elle nous emporte dans le tourbillon de la vie, où souffle la liberté.
Que vous aimiez la musique ou pas, que vous connaissiez Lana del Rey ou Joan Baez, que vous soyez ou non sensible à la poésie, l'histoire que nous offre Marie Charrel est celle, universelle, des petites lumières du monde qui repoussent les ombres des coins obscurs et apaisent les doutes et les peurs.
A sa manière, avec une écriture musicale, une mélodie dans laquelle sonnent les silences, Marie Charrel fait naître deux artistes hors du commun. Si l'histoire n'est pas linéaire, c'est pour mieux nous faire entendre les rebondissements de leur vie, les genoux à terre, les doutes et les espoirs, les rires et les larmes, et les rencontrent qui changent une vie.
Libres comme des filles du vent, les femmes de cette histoires ont accepté les ombres qui marchent à leurs côtés. Et pour ne pas être dévorées, elles ont laissé entrer la lumière et ont fait face au monde, avec les mots, les poèmes et les silences comme seules armes…
Le dernier roman de Marie Charrel, La fille de Lake Placid, est une petite pépite. Sa lecture est comme une bouffée d'oxygène, un moment suspendu, quelques heures volées au temps. Marie Charrel une fois encore, place ses mots comme une mélodie. Elle nous emporte dans le tourbillon de la vie, où souffle la liberté.
Que vous aimiez la musique ou pas, que vous connaissiez Lana del Rey ou Joan Baez, que vous soyez ou non sensible à la poésie, l'histoire que nous offre Marie Charrel est celle, universelle, des petites lumières du monde qui repoussent les ombres des coins obscurs et apaisent les doutes et les peurs.
A sa manière, avec une écriture musicale, une mélodie dans laquelle sonnent les silences, Marie Charrel fait naître deux artistes hors du commun. Si l'histoire n'est pas linéaire, c'est pour mieux nous faire entendre les rebondissements de leur vie, les genoux à terre, les doutes et les espoirs, les rires et les larmes, et les rencontrent qui changent une vie.
Libres comme des filles du vent, les femmes de cette histoires ont accepté les ombres qui marchent à leurs côtés. Et pour ne pas être dévorées, elles ont laissé entrer la lumière et ont fait face au monde, avec les mots, les poèmes et les silences comme seules armes…
