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Critique de diamelee
Ce titre m'a beaucoup intriguée. Je n'ai eu de cesse de vouloir le lire. La déception n'a pas trouvé sa place dans ce livre. Les dictons, les proverbes sont le propre de l'homme, de son histoire, de ses traditions. Ils sont souvent sages, sentencieux et donnent des leçons de vie à l'humain. Dans certains pays africains, les discussions se font à base de proverbes. Cela démontre la sagesse de l'humain. Postverbes prend la vie, l'humain, à contre-pied. Je dirai que ce sont des proverbes de la société moderne. Une société où l'égoïsme, la solitude et l'indifférence sont rois. Ils dépeignent si bien ce monde qui ne donne pas droit à l'erreur, à la différence.
Je ne dis pas que les Postverbes sont violents et durs. Pas du tout. Ils illuminent la journée du lecteur car facteurs de beaucoup d'humour car « il n'y a qu'un seul bienfait, c'est l'ignorance« . dans notre monde actuel, c'est un excellent alibi pour étaler sa bêtise, son intolérance, son refus de l'autre. Voire, sa couardise. Mon postverbe préféré est « l'enfer est pavé de mauvaises intentions ». C'est d'un humour très fin car c'est l'excuse préférée de ceux qui se dédouanent de certains actes. Il y a beaucoup d'humour dans ce livre. Les proverbes sont pris à rebours et sont succulents.
Les postverbes sont classés par sentiment. Ils ont beaucoup de bon sens: « qui pisse au vent, mouille sa chemise« . L'imagination est titillée et le rire n'est pas loin. Mieux, ils peuvent faire « briller » en société. Animer une discussion. Nous ressentons bien que l'auteur s'est régalé en prenant les dictons, les proverbes à rebours. En se créant un univers dans un endroit où ils nous invitent: la seconde partie, « les mots ». J'y suis sensible car j'adore les mots. L'auteur nous invite dans ses pensées, dans sa logique et nous en redemandons. Chaque page est un délice. Une gourmandise qui dénonce l'absurdité de la vie. Nous ne nous ennuyons pas une seule fois. C'est une grande bouffée de bonne humeur.
Je ne dis pas que les Postverbes sont violents et durs. Pas du tout. Ils illuminent la journée du lecteur car facteurs de beaucoup d'humour car « il n'y a qu'un seul bienfait, c'est l'ignorance« . dans notre monde actuel, c'est un excellent alibi pour étaler sa bêtise, son intolérance, son refus de l'autre. Voire, sa couardise. Mon postverbe préféré est « l'enfer est pavé de mauvaises intentions ». C'est d'un humour très fin car c'est l'excuse préférée de ceux qui se dédouanent de certains actes. Il y a beaucoup d'humour dans ce livre. Les proverbes sont pris à rebours et sont succulents.
Les postverbes sont classés par sentiment. Ils ont beaucoup de bon sens: « qui pisse au vent, mouille sa chemise« . L'imagination est titillée et le rire n'est pas loin. Mieux, ils peuvent faire « briller » en société. Animer une discussion. Nous ressentons bien que l'auteur s'est régalé en prenant les dictons, les proverbes à rebours. En se créant un univers dans un endroit où ils nous invitent: la seconde partie, « les mots ». J'y suis sensible car j'adore les mots. L'auteur nous invite dans ses pensées, dans sa logique et nous en redemandons. Chaque page est un délice. Une gourmandise qui dénonce l'absurdité de la vie. Nous ne nous ennuyons pas une seule fois. C'est une grande bouffée de bonne humeur.
