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Critique de Yoda_Bor
L'Alliance des trois n'existe plus. Tobias a été emporté par le Raupéroden et Ambre et Matt, après un passage à Eden, la grande ville Pan, repartent vers le Sud.
Ils emportent avec eux quelques adolescents et surtout, tous les espoirs du peuple Pan, confronté à la menace des armées de Malronce qui remontent pour les affronter dans une dernière bataille.
Encore une fois, on retourne sur les routes. Dans leur descente vers le sud, les adolescents refont exactement le chemin inverse de celui du tome 2.
Une fois la Forêt passée, ils se retrouvent donc de nouveau à traverser Babylone et Henok. Mais ce coup-ci, on va aussi découvrir Wyrd'Lon-Deis, la redoutable demeure de Malronce.
Si les deux premiers tomes mettaient beaucoup l'accent sur la nature, ce troisième, qui clôt la première trilogie, est lui tourné vers les relations humaines et familiales.
Ambre, Matt et Tobias vont chacun évoluer et faire des découvertes, notamment l'identité du Raupéroden et de Malronce et l'histoire avance à grand pas.
Mais les incessants voyages ont fini par me lasser. J'avais beaucoup apprécié le tome 1 parce qu'il permettait de voir comment un groupe d'adolescents peut reconstruire une société sur l'Île des Manoirs. le tome 2 m'avait particulièrement plu pour la découverte du peuple Gaïa et les étranges personnages qui le composaient.
Ici, tout est survolé très rapidement, les grosses révélations se font en début en tome, et l'accent est surtout mis sur la grosse bataille finale qui se profile à l'horizon.
Au niveau des personnages, ils ont tous beaucoup évolué mais l'accent est toujours mis sur le trio principal. Ambre prend les choses en main et j'ai beaucoup aimé ce qu'elle est devenue, même si je regrette un peu que son rôle ne soit pas mieux explicité.
Les personnages secondaires, eux, sont essentiellement là pour se faire tuer.
Les thèmes principaux sont toujours aussi présents. La nature, la vengeance, la religion qui prend de plus en plus de place.
Mais aussi cette question de morale : Que faire d'un peuple qui tue ses propres enfants ?
Malgré une fin un peu rapide et une lassitude qui s'est un peu installée, j'ai passé beaucoup de bon temps avec cette lecture et certains passages épiques ont su élever le niveau général du récit, toujours agrémenté de très belles illustrations.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..
Ils emportent avec eux quelques adolescents et surtout, tous les espoirs du peuple Pan, confronté à la menace des armées de Malronce qui remontent pour les affronter dans une dernière bataille.
Encore une fois, on retourne sur les routes. Dans leur descente vers le sud, les adolescents refont exactement le chemin inverse de celui du tome 2.
Une fois la Forêt passée, ils se retrouvent donc de nouveau à traverser Babylone et Henok. Mais ce coup-ci, on va aussi découvrir Wyrd'Lon-Deis, la redoutable demeure de Malronce.
Si les deux premiers tomes mettaient beaucoup l'accent sur la nature, ce troisième, qui clôt la première trilogie, est lui tourné vers les relations humaines et familiales.
Ambre, Matt et Tobias vont chacun évoluer et faire des découvertes, notamment l'identité du Raupéroden et de Malronce et l'histoire avance à grand pas.
Mais les incessants voyages ont fini par me lasser. J'avais beaucoup apprécié le tome 1 parce qu'il permettait de voir comment un groupe d'adolescents peut reconstruire une société sur l'Île des Manoirs. le tome 2 m'avait particulièrement plu pour la découverte du peuple Gaïa et les étranges personnages qui le composaient.
Ici, tout est survolé très rapidement, les grosses révélations se font en début en tome, et l'accent est surtout mis sur la grosse bataille finale qui se profile à l'horizon.
Au niveau des personnages, ils ont tous beaucoup évolué mais l'accent est toujours mis sur le trio principal. Ambre prend les choses en main et j'ai beaucoup aimé ce qu'elle est devenue, même si je regrette un peu que son rôle ne soit pas mieux explicité.
Les personnages secondaires, eux, sont essentiellement là pour se faire tuer.
Les thèmes principaux sont toujours aussi présents. La nature, la vengeance, la religion qui prend de plus en plus de place.
Mais aussi cette question de morale : Que faire d'un peuple qui tue ses propres enfants ?
Malgré une fin un peu rapide et une lassitude qui s'est un peu installée, j'ai passé beaucoup de bon temps avec cette lecture et certains passages épiques ont su élever le niveau général du récit, toujours agrémenté de très belles illustrations.
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