« Génial, j'adore, il est fort
Maxime Chattam, il faut absolument que tu découvres
La constance du Prédateur, c'est super ! »
Sur le conseil de mon cher et tendre, me voici donc plongée dans cet univers de prédation. Ce livre est plein d'actions, de surprises, de rebondissements, de twists inattendus. Il n'y a pas de temps mort, tout s'enchaîne à un rythme effréné.
Attention, âme sensible s'abstenir, c'est tortueux, cruel ; on baigne dans
le mal à haute dose. Ce n'est pas ce qui me dérange habituellement. J'aime bien les romans noirs. J'avais d'ailleurs adoré les deux premiers tomes de la Trilogie du mal de
Maxime Chattam.
Mais là, je n'ai pas adhéré. C'est trop. Trop alambiqué, trop de rebondissements, trop tordu, trop dramatisant, et trop (beaucoup trop) d'adjectifs. J'ai commencé à faire une indigestion et plus rien n'est passé. Ni le style, ni le personnage de Ludivine Vancker, ni l'histoire.
Ceci étant, côté originalité et imagination, je tire mon chapeau à
Maxime Chattam.
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