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Critique de loloM
Froid dans le dos, frissons, dégoût, suspens… Garantis.
Un psychopathe sanglant qui s'en prend aux femmes. Les enlève, les mutile, les tue, et ne manque pas de convier l'inspecteur Joshua Brolin et son équipe à suivre et admirer son oeuvre « machiavélique ».
Le lecteur est véritablement au plus proche de l'enquête. du début à la fin, le réalisme et la finesse des détails décrits donnent l'illusion de suivre à la minute le travail empirique de l'équipe d'enquêteur. On réfléchit, on suppose, on cherche, on découvre et tremble avec eux. Des scènes de crimes aux autopsies, la lecture en est parfois même dérangeante, mais toujours intense.
Les personnages sont entiers, attachants. Tantôt perdus puis soudain perspicaces. L'enquête traîne mais avance, et les éléments dispersés se recollent au fil des pages. Une intrigue à la fois dynamique entraînée par de nombreuses déductions et rebondissements, mais tout autant lente et lourde ancrée dans un travail de puzzle à 1001 pièces tordues que l'inspecteur Brolin et son équipe doivent comprendre et assembler. Une véritable lutte intellectuelle vers l'identité et le but du ou des tueurs traqués.
Et de la magie noire pour compléter le tout. Suffisamment dosée pour contrebalancer avec le réalisme de l'enquête. Une intrigue à vous faire croire au fantôme.
On ne s'ennuie pas. On veut aller au bout et comprendre. Mais l'ensemble est tout de même très noir, peut-être trop. le tueur en perd de sa réalité, son délire est difficile à imaginer tant le côté sombre et sanglant est présent dans son esprit et ses faits et gestes.
Peut-être est-ce naïf de penser cela, ou peut-être est-ce une part de réalité que l'on préfère ne pas admettre. Car Maxime Chattam nous prévient dès le départ, et en fermant ce livre ce sont les quelques lignes d'avant-propos qu'on se surprend à relire et qui font froid dans le dos. Il y explique avoir écrit ce livre après deux années d'études poussées sur les tueurs en série et conclue par « Sans faire l'apologie de l'horreur, j'ai tenté d'écrire ce roman en étant le plus près possible de la réalité. C'est sans doute cela le plus effrayant. » .
Un psychopathe sanglant qui s'en prend aux femmes. Les enlève, les mutile, les tue, et ne manque pas de convier l'inspecteur Joshua Brolin et son équipe à suivre et admirer son oeuvre « machiavélique ».
Le lecteur est véritablement au plus proche de l'enquête. du début à la fin, le réalisme et la finesse des détails décrits donnent l'illusion de suivre à la minute le travail empirique de l'équipe d'enquêteur. On réfléchit, on suppose, on cherche, on découvre et tremble avec eux. Des scènes de crimes aux autopsies, la lecture en est parfois même dérangeante, mais toujours intense.
Les personnages sont entiers, attachants. Tantôt perdus puis soudain perspicaces. L'enquête traîne mais avance, et les éléments dispersés se recollent au fil des pages. Une intrigue à la fois dynamique entraînée par de nombreuses déductions et rebondissements, mais tout autant lente et lourde ancrée dans un travail de puzzle à 1001 pièces tordues que l'inspecteur Brolin et son équipe doivent comprendre et assembler. Une véritable lutte intellectuelle vers l'identité et le but du ou des tueurs traqués.
Et de la magie noire pour compléter le tout. Suffisamment dosée pour contrebalancer avec le réalisme de l'enquête. Une intrigue à vous faire croire au fantôme.
On ne s'ennuie pas. On veut aller au bout et comprendre. Mais l'ensemble est tout de même très noir, peut-être trop. le tueur en perd de sa réalité, son délire est difficile à imaginer tant le côté sombre et sanglant est présent dans son esprit et ses faits et gestes.
Peut-être est-ce naïf de penser cela, ou peut-être est-ce une part de réalité que l'on préfère ne pas admettre. Car Maxime Chattam nous prévient dès le départ, et en fermant ce livre ce sont les quelques lignes d'avant-propos qu'on se surprend à relire et qui font froid dans le dos. Il y explique avoir écrit ce livre après deux années d'études poussées sur les tueurs en série et conclue par « Sans faire l'apologie de l'horreur, j'ai tenté d'écrire ce roman en étant le plus près possible de la réalité. C'est sans doute cela le plus effrayant. » .
