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Critique de Viracocha
J'ai lu Dans la peau d'un hôte, de Marguerite Chaumon
Il s'agit d'un livre auto-édité, écrit par une collègue que j'ai rencontrée avec son mari à l'occasion d'un salon où je participais en tant qu'auteur. La couverture et le thème de son livre m'ont tapé dans l'oeil, alors j'ai décidé de repartir du salon avec ce livre.
Et je ne l'ai pas regretté, malgré quelques petites fautes de syntaxe/coquille (plutôt rares), il n'y a rien à redire sur le style de l'autrice. Mais d'abord, parlons de l'histoire, ce livre parle essentiellement de réincarnation et d'amour. On suit Margot, une femme veuve qui a perdu son mari, et qui, un jour, se rend compte qu'il a été réincarné dans le corps d'un cheval. Alors, elle va tout mettre en oeuvre pour le récupérer et l'avoir auprès d'elle, aidée en cela par sa fille et son gendre.
L'histoire est légère et ne trahit aucune forme d'arrogance, si ce n'est un amour de la langue française et de l'esthétique. La plume est agréable, le vocabulaire légèrement soutenu, et les dialogues riches. On ne s'ennuie pas une seule seconde. Fantaisiste, cette histoire est parvenu à capter mon attention et ma curiosité. Je n'ai eu de cesse que de vouloir connaître le fin de mot des péripéties du cheval qui va être affublé de différents patronymes au cours de ses pérégrinations. En effet, le mari de Margot va vivre plusieurs péripéties et va voyager d'écurie en écurie, poursuivie sans cesse par "sa femme."
La qualité d'écriture de l'autrice est incontestable, l'histoire est intelligente, légère certes mais passionnée et passionnante. Pour un premier roman, ce n'est pas mal du tout, et cela laisse présager que Marguerite est capable de faire bien mieux encore.
Il s'agit d'un livre auto-édité, écrit par une collègue que j'ai rencontrée avec son mari à l'occasion d'un salon où je participais en tant qu'auteur. La couverture et le thème de son livre m'ont tapé dans l'oeil, alors j'ai décidé de repartir du salon avec ce livre.
Et je ne l'ai pas regretté, malgré quelques petites fautes de syntaxe/coquille (plutôt rares), il n'y a rien à redire sur le style de l'autrice. Mais d'abord, parlons de l'histoire, ce livre parle essentiellement de réincarnation et d'amour. On suit Margot, une femme veuve qui a perdu son mari, et qui, un jour, se rend compte qu'il a été réincarné dans le corps d'un cheval. Alors, elle va tout mettre en oeuvre pour le récupérer et l'avoir auprès d'elle, aidée en cela par sa fille et son gendre.
L'histoire est légère et ne trahit aucune forme d'arrogance, si ce n'est un amour de la langue française et de l'esthétique. La plume est agréable, le vocabulaire légèrement soutenu, et les dialogues riches. On ne s'ennuie pas une seule seconde. Fantaisiste, cette histoire est parvenu à capter mon attention et ma curiosité. Je n'ai eu de cesse que de vouloir connaître le fin de mot des péripéties du cheval qui va être affublé de différents patronymes au cours de ses pérégrinations. En effet, le mari de Margot va vivre plusieurs péripéties et va voyager d'écurie en écurie, poursuivie sans cesse par "sa femme."
La qualité d'écriture de l'autrice est incontestable, l'histoire est intelligente, légère certes mais passionnée et passionnante. Pour un premier roman, ce n'est pas mal du tout, et cela laisse présager que Marguerite est capable de faire bien mieux encore.
