Décidément Émilie Chazerand touche juste à chaque fois. Grâce à Babelio et Masse Critique j'ai replongé son écriture et l'humour qui la caractérise pour dire des choses parfois graves. Là elle fait parler
Djibril, jeune homme noir presque pas à plaindre : famille financièrement à l'aise, garçon gentil et travailleur. Et qui pourtant subit tous les stéréotypes. Vous aurez noté le "presque" aussi. Il faut lire pour savoir...
Un album parsemé d'oeuvres d'art en plus des illustration de
Betty Bone. Comme d'habitude, j'ai souri souvent, et versé quelques larmes à la fin. Elle touche juste à chaque fois, je vous ai dit. Je reste fan.
Cet ouvrage va trouver sa place au lycée, et dès janvier je commande son pendant, puisqu'il s'agit d'un diptyque. Une lecture qui à coups sûrs parlera aux élèves. J'espère que son petit format attirera les moins lecteurs et lectrices d'entre elleux.
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