Comme le dit
Simon Leys, sinologue de longue date, dans l'introduciton de ce livre : "C'est seulement quand nous considérons la Chine que nous pouvons enfin prendre une plus exacte mesure de notre propre identité et que nous commençons à percevoir quelle part de notre héritage relève de l'humanité universelle et quelle part ne fait que refléter de simples idiosyncrasies indo-européennes."
Et qui mieux que la fille de
François Cheng, normalienne de surcroît, pourrait nous faire apercevoir les arcanes d'une vision du monde tellement différente de la nôtre ?
Evidemment, cela ne se lit pas comme un roman, mais c'est vraiment enrichissant.
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