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Critique de Wyoming


Quand on ne lit que quelques pages de François Cheng ,-- il y en a à peine sept dans ce petit fascicule qui présente un article qu'il avait écrit dans Le Figaro en 2009 -- on ne peut ressentir que du bonheur et, donc, de la joie, tellement, en peu de mots, il la définit, la ressent et la transmet.

Il commence par la prononciation du mot avec cette "syllabe en deux temps", puis la distingue du contentement, de la satisfaction, de la jubilation, voyant en elle une "transfiguration de l'être".

Il établit un parallèle très porteur de sens entre la joie et la vie, la vraie vie, la "vie ouverte", en évoquant la richesse du partage de cette joie qui la fait grandir encore.

Il voit la joie dans la simplicité, le printemps, la naissance des fleurs, mais aussi dans "l'élévation spirituelle" qu'elle donne à l'esprit.

Sept pages, une pour chaque jour de la semaine, à lire et relire jusqu'à les connaître par coeur pour laisser la joie nous habiter, nous sortir d'une éventuelle morosité, nous aider à quitter les tristesses de la vie pour continuer de la savourer dans chacun des moments de joie qu'elle nous offre.
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