Le premier recueil que je lis de lui, agréablement surpris.
François Cheng abolit les frontières entre l'intériorité et l'extérieur, entre l'universel et le singulier, entre le pérenne et l'éphémère et nous touche avec son souffle qui se mêle au cosmos.
La vraie poésie est ici, pour l'éternité.
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