>
Critique de jovidalens
Cocktail explosif composé d'humoir noir, très noir, et d'une peur bleue de l'avenir. Avec un zeste de marketing, consumérisme, bref tous les termes en -ing et en -isme dont nous sommes abreuvés jusqu'à plus soif tous les jours.
C'est un appel à projet pour un nouveau musée et c'est aussi un miroir inversé de notre société entre après Tchernobyl et avant Fukoshima.
Pages blanches où sont présentées les différentes attractions ultra-inventives qui seront proposées au public, contrebalancées par les pages noires, celles avec des photos en noir et blanc de la réalité de Tchernobyl, des citations de chercheurs, témoins. Et, en point d'orgue, la réponse d'une certaine ambassade à ce projet de "Musée de l'Avenir" qui n'est peut être pas un "niet" définitif.
Quel voyage ...prospectif ?
C'est un appel à projet pour un nouveau musée et c'est aussi un miroir inversé de notre société entre après Tchernobyl et avant Fukoshima.
Pages blanches où sont présentées les différentes attractions ultra-inventives qui seront proposées au public, contrebalancées par les pages noires, celles avec des photos en noir et blanc de la réalité de Tchernobyl, des citations de chercheurs, témoins. Et, en point d'orgue, la réponse d'une certaine ambassade à ce projet de "Musée de l'Avenir" qui n'est peut être pas un "niet" définitif.
Quel voyage ...prospectif ?
