Si chez Spiderman «Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités » dans «
the cape » ce n'est pas le cas.
Le grand pouvoir, ici une cape qui permet de voler, tombe entre les mains d'un individu immature et grossier, qui ne songera qu'à satisfaire ses désirs les plus égoïstes.
Dans le même ton que sa géniale série « Locke & Key »
Joe Hill nous offre une histoire de superhéros, sombre et tragique, ou la rédemption et l'héroïsme ne sont pas de mise.
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