>
Critique de sumeragi69
Dukalyon fait partie des oeuvres de jeunesse des Clamp (1992). Leur style est déjà bien affirmé. On retrouve de beaux jeunes gens aux silhouettes longilignes. Les dessins sont fins et très détaillés concernant les personnages, mais les pieds souffrent encore du manque de maîtrise de Mokona Apapa à ce niveau.
Les décors passent souvent à la trappe, remplacés pas de nombreux effets de mouvements ou des trames.
Les Clamp sont des fans de séries Sentaï comme Bioman ou X-Or et cela se voit. Chaque chapitre est une histoire autoconclusive qui s'inscrit dans un récit global s'achevant dans le tome 2. A chaque chapitre, l'Association des Grosses Brutes du centre commercial Imonoyama s'en prennent aux élèves de l'école Clamp, d'une façon ou d'une autre.
Et à chaque fois, Takeshi shukaïdo et Kentaro Higashikunimaru interviennent transformés en soldats de la brigade spéciale d'intervention Dukalyon.
comme il se doit, les méchants font appel à un monstre grotesque qui se fera éliminer en une ou deux pages, voire une seule case si les Clamp manquent de place. le nom des monstres est un régal à chaque fois : Poulpotronc, Méméta-carpe ... Tous les poncifs des séries Sentaï sont repris et exagérés avec une fantaisie jouissive.
A cela s'ajoute une romance impossible entre une des héroïnes et le chef des méchants. Chacun est incapable de reconnaître l'autre quand il est en tenue d'action.
Bref, c'est ridicule, très drôle et léger. Il n'y a aucun message à chercher. Un pur plaisir. Les Clamp en profitent pour faire des Cross-overs avec toutes leurs séries se déroulant dans l'école qu'elles ont inventées : le voleur au cent visages, Clamp school detectives...
Les décors passent souvent à la trappe, remplacés pas de nombreux effets de mouvements ou des trames.
Les Clamp sont des fans de séries Sentaï comme Bioman ou X-Or et cela se voit. Chaque chapitre est une histoire autoconclusive qui s'inscrit dans un récit global s'achevant dans le tome 2. A chaque chapitre, l'Association des Grosses Brutes du centre commercial Imonoyama s'en prennent aux élèves de l'école Clamp, d'une façon ou d'une autre.
Et à chaque fois, Takeshi shukaïdo et Kentaro Higashikunimaru interviennent transformés en soldats de la brigade spéciale d'intervention Dukalyon.
comme il se doit, les méchants font appel à un monstre grotesque qui se fera éliminer en une ou deux pages, voire une seule case si les Clamp manquent de place. le nom des monstres est un régal à chaque fois : Poulpotronc, Méméta-carpe ... Tous les poncifs des séries Sentaï sont repris et exagérés avec une fantaisie jouissive.
A cela s'ajoute une romance impossible entre une des héroïnes et le chef des méchants. Chacun est incapable de reconnaître l'autre quand il est en tenue d'action.
Bref, c'est ridicule, très drôle et léger. Il n'y a aucun message à chercher. Un pur plaisir. Les Clamp en profitent pour faire des Cross-overs avec toutes leurs séries se déroulant dans l'école qu'elles ont inventées : le voleur au cent visages, Clamp school detectives...
