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Critique de florencem
Encore quelques petites libertés, mais cela aide à rendre l'histoire plus fluide et évite aussi de trop longs passages. Sinon, Cassandra Jean reste une fois de plus fidèle à l'histoire, et arrive à retranscrire fidèlement l'oeuvre de Cassandra Clare.
Etant habituée à lire des mangas, ce n'est pas en soi un format qui me dérange, mais je pense une nouvelle fois que lire les romans graphiques avant les romans n'est pas forcément une bonne idée. J'ai passé un très bon moment, surtout qu'il y a beaucoup plus d'action dans ce second tome, mais les personnages n'ont pas le temps d'être assez exploités au niveau de leur psychologie. Je les retrouve parfaitement, pour ma part, mais je pense que c'est parce que je connais leurs histoires ainsi que nos héros. Il est ainsi beaucoup plus facile de les appréhender et de comprendre leurs actions.
Le gros point positif est de voir les héros que j'adore prendre vie. J'ai déjà vu le film qui était pour moi pas mal du tout, mais je suis passée à côté de la série. Et vu ce que j'ai pu en lire, j'ai bien fait. Ici, la fidélité de l'illustratrice fait qu'on est vraiment immergé dans la « vraie » histoire de façon graphique. Et encore une fois, elle arrive très bien à retranscrire l'essence des personnages, bien que je trouve qu'ils ne soient pas assez exploités, faute de temps.
Dans ce second tome notamment, c'est la relation entre Luke et Clary qui ressort le plus. C'est quelque chose que j'ai adoré dans les romans. Il n'est pas son père, mais il a pourtant cette place indéniable auprès d'elle, ainsi qu'une influence positive. Il n'a jamais cherché à s'imposer mais on voit dans sa façon d'agir et dans les gestes qu'il a envers elle qu'il l'aime comme sa propre fille. Et c'est très touchant, car l'inverse est réciproque.
Et c'est pour ce genre de petites choses que cela ne me dérange pas de revivre cette histoire que j'aime vraiment beaucoup. Allez hop, on passe au dernier tome.
Etant habituée à lire des mangas, ce n'est pas en soi un format qui me dérange, mais je pense une nouvelle fois que lire les romans graphiques avant les romans n'est pas forcément une bonne idée. J'ai passé un très bon moment, surtout qu'il y a beaucoup plus d'action dans ce second tome, mais les personnages n'ont pas le temps d'être assez exploités au niveau de leur psychologie. Je les retrouve parfaitement, pour ma part, mais je pense que c'est parce que je connais leurs histoires ainsi que nos héros. Il est ainsi beaucoup plus facile de les appréhender et de comprendre leurs actions.
Le gros point positif est de voir les héros que j'adore prendre vie. J'ai déjà vu le film qui était pour moi pas mal du tout, mais je suis passée à côté de la série. Et vu ce que j'ai pu en lire, j'ai bien fait. Ici, la fidélité de l'illustratrice fait qu'on est vraiment immergé dans la « vraie » histoire de façon graphique. Et encore une fois, elle arrive très bien à retranscrire l'essence des personnages, bien que je trouve qu'ils ne soient pas assez exploités, faute de temps.
Dans ce second tome notamment, c'est la relation entre Luke et Clary qui ressort le plus. C'est quelque chose que j'ai adoré dans les romans. Il n'est pas son père, mais il a pourtant cette place indéniable auprès d'elle, ainsi qu'une influence positive. Il n'a jamais cherché à s'imposer mais on voit dans sa façon d'agir et dans les gestes qu'il a envers elle qu'il l'aime comme sa propre fille. Et c'est très touchant, car l'inverse est réciproque.
Et c'est pour ce genre de petites choses que cela ne me dérange pas de revivre cette histoire que j'aime vraiment beaucoup. Allez hop, on passe au dernier tome.
