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Critique de Yzou
Amun n'a pas eu une vie très longue, mais elle fût triste et misérable. Alors qu'il est encore enfant, il meurt dans un incendie et se retrouve dans un entre-deux que l'on appelle « le monde sombre ». Amun est alors un fantôme dans le monde des vivants : il peut vivre parmi les humains et les voir, mais eux ne le voient pas. Cet entre-deux est censé n'être qu'une escale avant une nouvelle réincarnation, mais Amun a tant souffert dans le monde réel qu'il décide de rester dans ce monde sombre où les choses sont paisibles et où être simple spectateur est un rôle qui lui convient mieux.
Un beau jour il rencontre Yaël, un autre fantôme d'à peu près son âge. Ils sympathisent rapidement et, sous l'influence lumineuse de Yaël, le monde sombre se transforme pour ces deux enfants en une immense cour de récréation. Mais Yaël aspire à vivre de nouveau et Amun ne réussira pas à le retenir…
Le Silence est d'Ombre est une très belle histoire d'amitié.
De celles qui font qu'une fois seul on se sent incomplet.
De celles qui nous apprennent à croire au meilleur et qui nous font grandir.
Et de celles qui font naître l'espoir dans notre coeur.
Une histoire illustrée par un dessin chaleureux aux couleurs éclatantes. Moi qui ai tendance à associer par habitude la plume de Loic Clément au doux dessin d'Anne Montel, je ne cache pas que Sanoë m'a ici surprise avec ses alternances chatoyantes de couleurs chaudes et froides.
Mais pour finir, il me manque quelque chose pour être totalement emballée par cet album. Je n'ai pas été émue par cette histoire et j'ai terminé ma lecture avec une impression d'inachevé, un truc manquant que je ne réussi pas à nommer…
Un beau jour il rencontre Yaël, un autre fantôme d'à peu près son âge. Ils sympathisent rapidement et, sous l'influence lumineuse de Yaël, le monde sombre se transforme pour ces deux enfants en une immense cour de récréation. Mais Yaël aspire à vivre de nouveau et Amun ne réussira pas à le retenir…
Le Silence est d'Ombre est une très belle histoire d'amitié.
De celles qui font qu'une fois seul on se sent incomplet.
De celles qui nous apprennent à croire au meilleur et qui nous font grandir.
Et de celles qui font naître l'espoir dans notre coeur.
Une histoire illustrée par un dessin chaleureux aux couleurs éclatantes. Moi qui ai tendance à associer par habitude la plume de Loic Clément au doux dessin d'Anne Montel, je ne cache pas que Sanoë m'a ici surprise avec ses alternances chatoyantes de couleurs chaudes et froides.
Mais pour finir, il me manque quelque chose pour être totalement emballée par cet album. Je n'ai pas été émue par cette histoire et j'ai terminé ma lecture avec une impression d'inachevé, un truc manquant que je ne réussi pas à nommer…
