AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de majero


majero
13 septembre 2017
Le beau juif Solal, petit salop de macho aux 32 dents parfaites, Sous-Secrétaire Général de la société des Nations de Genève aime les jolis seins d'Ariane, un peu sosotte et sauvée du suicide par son époux Adrien Deume, roi de la procrastination (2 heures pour expliquer qu'il ne fait rien de ses journées) mais qui vient d'obtenir une promotion, justement de Solal, son chef, qu'il invite à un repas royal (2 autres heures pour expliquer la préparation du repas sous la gouverne de la belle mère Antoinette qui se prend pour une mondaine et sait dire 'montrez moi vos jeulis souyés s'il vous polait' et terrorise son petit phoquet zézayeur de mari, plus deux heures d'attente la non venue de Solal).

Dommage pour les premières heures assez chiantes ainsi que quelques longueurs car le reste est savoureux, remarquablement raconté, économie de mots merveilleusement choisis, humour (juif?) excellent!, et je ne vous ai pas encore parlé des autres babouins gravitant autour de la Société des Nations aussi inutiles qu'imbus de leur personne, des impayables cousins juifs, ni du soliloque de Solal (deux autres heures) sur les onze manèges de la séduction des babouines et autres petites araignées,
amours phéromonées, éphémères futilités,
amours chimiques, muses prolifiques...
détresse des amours éteintes.
Commenter  J’apprécie          294



Ont apprécié cette critique (28)voir plus




{* *}