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Critique de irismister


Tiens, un destructeur hônnette ! Pour se tuer par la suite avec elle, Solal conquit une Bovary dont le mari souvent absent compte ses journées de travail comme fonctionnaire à Genève. Tout en déduisant les nombre de fêtes légales, il lui en reste une. Celle ou il est libre car c'est le Jour de son anniversaire. Il fonctionne...

Un gentleman ce Solal de Képhalonie ! Il mâche du loukoum rahat et ne mange pas des clous. C'est l'héraut ! Pardon, c'est le zéro plutôt. Détruire l'Amour ? Cela n'est pas à la portée de tous. Et sur 800 pages en garamond Pléïades, s'il vous plaît…

Petronius, de Quo va dis, Domine, se tue tout seul. Pete, non dolet, disait sa femme Aria en se tuant aussi et pour de vrai; Mais vous allez dire que c'était de la littérature arienne, sauce moutarde à l'ancienne, pas d'une anti-tragédie...

Il en est ainsi ! le sieur Cohén aurait dû rester dans sa baignoire pendant les nuitées de garde ou son autre pérsonnage, l'homéride médecin, poursuivait des plaisirs plus précisemment intéllo.

Comme cela, François Mitteranand, un "connoisseur" si on juge selon la Mazarine, aurait pu faire grace d'une très intéressée proposition de nominalisation aux Prix Nobel.

Au prix que cela coûte, la destruction mise en oeuvre par Albert Cohen aurait été canon... Aedificabo et destruam !
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