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Critique de Dans_tous_mes_etats
Je découvre enfin la plume de Jenny Colgan malgré que six de ses romans m'attendent bien sagement dans mes bibliothèques !
Je peux vous dire que j'ai eu du mal à décoller et à tourner les pages puisque ma peur du vide et ma peur des avions m'ont bloquée. J'ai tenté de reprendre mon souffle, de me calmer. La phobie a gagné le pas. Je peux vous dire que la plume de l'autrice est très immersive si j'ai ressenti de telles émotions en embarquant dans cette lecture.
Morag est pilote de génération en génération. Bien plus qu'une passion, un art de vivre. Un accident en plein vol la paralyse, la submerge. Elle a peur de ne pas arriver à décoller.
Son grand-père lui demande de l'aide sur son archipel. Elle doit piloter Dolly, le vieil avion qui dépose d'île en île les touristes, les chercheurs, les habitants et le courrier.
Au-delà des nuages est une quête pour retrouver le souffle, pour retrouver la passion et l'envie d'être. J'ai beaucoup aimé les cent dernières pages bien plus que le reste du roman que j'ai trouvé un peu trop redondant et angoissant (par rapport à ma phobie).
Une découverte qui m'a donné envie de sentir la mer me chatouiller les doigts de pied, de voir l'envol d'un oiseau, d'avoir une poule qui s'endort sur moi et de me promener aux côtés d'une chèvre.
Je peux vous dire que j'ai eu du mal à décoller et à tourner les pages puisque ma peur du vide et ma peur des avions m'ont bloquée. J'ai tenté de reprendre mon souffle, de me calmer. La phobie a gagné le pas. Je peux vous dire que la plume de l'autrice est très immersive si j'ai ressenti de telles émotions en embarquant dans cette lecture.
Morag est pilote de génération en génération. Bien plus qu'une passion, un art de vivre. Un accident en plein vol la paralyse, la submerge. Elle a peur de ne pas arriver à décoller.
Son grand-père lui demande de l'aide sur son archipel. Elle doit piloter Dolly, le vieil avion qui dépose d'île en île les touristes, les chercheurs, les habitants et le courrier.
Au-delà des nuages est une quête pour retrouver le souffle, pour retrouver la passion et l'envie d'être. J'ai beaucoup aimé les cent dernières pages bien plus que le reste du roman que j'ai trouvé un peu trop redondant et angoissant (par rapport à ma phobie).
Une découverte qui m'a donné envie de sentir la mer me chatouiller les doigts de pied, de voir l'envol d'un oiseau, d'avoir une poule qui s'endort sur moi et de me promener aux côtés d'une chèvre.
