J'ai retrouvé ici ce qui m'avait plu et effrayé chez
Sandrine Collette dans
Et toujours les forêts et
Juste après la vague. Les tripes. Elle me prend par les tripes. Je ne sais pas comment le dire autrement. J'en ai même cauchemardé !
Et pourtant j'en redemande. Car. L'écriture si particulière, le réalisme si cru, la rude nature toujours présente, l'immersion totale, la justesse... Je me délecte.
Cette fois j'ai pensé au Larzac, traversé il y a peu sous un ciel de grisaille. Causse et plateau désertique, magnifique mais flippant. Un séquestration par des consanguins à la lisière de l'humanité ne m'y a pas parue impensable.
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