>
Critique de dannso
Où est la sixième étoile?
Coup de coeur absolu pour ce livre absolument bouleversant et qui m'a profondément remuée.
J'ai aimé Liam, cet homme dont la vie est tragiquement remise en cause par le décès de sa femme sous les griffes d'un ours. Comment élever seul son fils, Aru, 5 ans, dans cet environnement sauvage, où lui doit s'absenter de longues journées pour chasser ? Comment prendre soin de lui alors qu'il est fou de douleur ? Comment gérer l'après, le déséquilibre ?
Un tabouret tient bien sur ses trois pieds, enlevez-en un, il tombe ...
J'ai aimé Liam, j'ai aimé Aru, tout petit si frêle, un taiseux comme son père, qui demandera quand revient sa maman, qui essaye de se faire encore plus petit, qui essaie de se faire oublier, quitte à s'oublier.
J'ai aimé Liam, J'ai aimé Aru, j'ai même aimé Dark et Ball, les gros comme les appelle Liam.
J'ai aussi aimé la nature qui les environne, magistralement décrite par la plume de l'autrice, par la voix de Liam.
Et parlons en de cette plume, de cette voix. Je ne comprends même pas qu'on ne puisse pas l'aimer, en goûter toutes les nuances. la puissance et la douceur, la dureté et la tendresse, quand elle décrit la magnificence de la nature et l'horreur de certains hommes, la douleur et l'amour mêlés.
Ce livre est un chemin, chemin vers l'acceptation de ce qui était depuis toujours dans le coeur de cet homme et qu'il ignorait.
Il est rare qu'un roman me plaise autant et que pourtant, paradoxalement, je ne me presse pas de le reprendre.
Il y a des livres qui se finissent trop vite, des voyages qui ne durent pas assez longtemps.
Coup de coeur absolu pour ce livre absolument bouleversant et qui m'a profondément remuée.
J'ai aimé Liam, cet homme dont la vie est tragiquement remise en cause par le décès de sa femme sous les griffes d'un ours. Comment élever seul son fils, Aru, 5 ans, dans cet environnement sauvage, où lui doit s'absenter de longues journées pour chasser ? Comment prendre soin de lui alors qu'il est fou de douleur ? Comment gérer l'après, le déséquilibre ?
Un tabouret tient bien sur ses trois pieds, enlevez-en un, il tombe ...
J'ai aimé Liam, j'ai aimé Aru, tout petit si frêle, un taiseux comme son père, qui demandera quand revient sa maman, qui essaye de se faire encore plus petit, qui essaie de se faire oublier, quitte à s'oublier.
J'ai aimé Liam, J'ai aimé Aru, j'ai même aimé Dark et Ball, les gros comme les appelle Liam.
J'ai aussi aimé la nature qui les environne, magistralement décrite par la plume de l'autrice, par la voix de Liam.
Et parlons en de cette plume, de cette voix. Je ne comprends même pas qu'on ne puisse pas l'aimer, en goûter toutes les nuances. la puissance et la douceur, la dureté et la tendresse, quand elle décrit la magnificence de la nature et l'horreur de certains hommes, la douleur et l'amour mêlés.
Ce livre est un chemin, chemin vers l'acceptation de ce qui était depuis toujours dans le coeur de cet homme et qu'il ignorait.
Il est rare qu'un roman me plaise autant et que pourtant, paradoxalement, je ne me presse pas de le reprendre.
Il y a des livres qui se finissent trop vite, des voyages qui ne durent pas assez longtemps.
