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Critique de Colchik


Tout en reconnaissant le savoir-faire de Michael Connelly, j'avoue me lasser des thrillers à l'anglo-saxonne dont je repère trop facilement les ficelles : tueur en série, meurtres horribles, pédophiles à tous les étages et rebondissements inattendus. Cet opus n'en fait pas l'économie.
Donc un tueur en série itinérant, Gladden, qui approvisionne un réseau de pédophiles en images d'enfants qu'il assassine parfois. Mais, chaque meurtre d'enfant est doublé par le suicide de l'un des policiers chargés de l'affaire. le journaliste Jack McEvoy en enquêtant sur le suicide de son frère jumeau, Sean, découvre qu'il camoufle, en fait, un meurtre. La seule piste qu'il possède pour retrouver le meurtrier est le message énigmatique laissé par les suicidés et qui est toujours une citation d'un poème d'Edgar Allan Poe. Commence alors une longue traque qui conduit McEvoy à Chicago, puis au siège du FBI à Quantico, se poursuit à Phoenix et, enfin, s'achève à Los Angeles.
le journaliste a dû livrer ses informations au FBI après avoir essayé de les doubler et il se retrouve à faire équipe avec l'agent Rachel Walling, la responsable de l'étude sur les suicides de policiers au FBI, et son chef, Backus. La relation qui naît entre McEvoy et Rachel Walling complique l'enquête, car l'ex-mari de Rachel se joint à l'équipe et montre une franche hostilité à l'égard de son rival.
La fin du roman, compliquée à souhait, est une cascade de rebondissements qui enlève peu à peu sa crédibilité au récit initial. Trop, c'est trop.
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