C'est la première fois que je lisais un roman de
Joseph Conrad, et la rencontre espérée n'a pas vraiment eu lieu. Je n'ai réussi à aucun moment à vraiment pénétrer ce texte. Il y a une sécheresse dans la narration des faits qui m'a un peu rebuté. Des paquets d'eau en veux-tu en voilà, des mots criés à peine entendus, et du vent à n'en plus finir, voilà ce que je retiendrai. Et l'énigmatique Capitaine Mac Whirr, mystérieux et agaçant, englué dans des principes et des habitudes. L'écriture est dense, riche, mais là encore, ça a presque été un obstacle supplémentaire. Je suis arrivé péniblement au bout de ce petit roman de 140 pages. Je crois que les torts sont partagés.
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