AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Asterios


A la marge du monde, un comptoir. Dans ce comptoir, deux hommes blancs, représentants de la civilisation au bout du monde. Autours, le fleuve, la forêt équatoriale, les autres. Occuper les longues journées jusqu'à épuiser l'ennui, médire, mépriser, boire. Il faut refaire ce monde, le civiliser.Il parait qu'ici les derniers blancs sont morts de la fièvre ou de quelque chose qui s'y apparente.

Vivre dans un comptoir c'est faire du commerce. Faire du commerce, c'est tenter de comprendre pour tirer avantage. Commercer l'ivoire, fermer les yeux et amasser des richesses. Il va falloir communiquer, avec les sauvages. Mais ils sont fous! Ils crient ils vocifèrent. Heureusement le traducteur est là, quelqu'un du pays.

Et puis les voila qui débarquent, que disent t'ils? le traducteur à l'air inquiet, mais il les rassure... et puis c'est l'incompréhension qui cède à la folie.

Peut-on s'imposer en maitre si loin de son univers? Comment comprendre, comment apprendre quand on est sûr de savoir?
Commenter  J’apprécie          472



Ont apprécié cette critique (43)voir plus




{* *}