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Critique de Davalian
Quelques jours ont passé depuis les événements tragiques évoqués lors du dénouement de l'Évangile oublié… C'est le coeur lourd que Didier Mosèle, Josiane Marlane et Martin Hertz reprennent leurs investigations alors que le coeur n'y est plus… en apparence du moins.
L'infâme mensonge se révèle bien plus actif que les albums précédents. La chasse au trésor reprend de plus belle et fait quelques avancées significatives. La partie la plus contemporaine de l'intrigue est celle qui se révèle la plus dynamique. Outre quelques scènes où l'on peut s'apercevoir que l'alcool nuit à la santé mais peu contribuer à faire certaines découvertes, l'histoire avance grâce à la participation plus active d'un personnage jusque là discret : Norbert Souffir. L'arrivée d'une nouvelle lettre post-mortem de Francis et quelques révélations concernant la loge première rajoutent un peu de sel.
Les intrigues secondaires sont dans l'ensemble plus riches que dans l'album précédent, qui se contentait de quelques miettes en comparaison. Des événements d'importance semblent se jouer au Vatican : ceux-ci annoncent de grandes manoeuvres et l'on est presque déçu de ne pas en savoir davantage l'introduction passée.
L'intermède historique est passionnant. Il permet de croiser les destins d'un alchimiste prévoyant et d'un certain Tomas de Torquemada. L'époque, l'Inquisition, le personnage concerné, la mise en scène de cette séquence, les liens avec l'intrigue principale : tout cela contribue à rendre ce moment-là particulièrement plaisant.
Comme pour les albums précédents, le passage de relais entre les dessinateurs peut être assez facilement identifié. Les dessins de Denis Falque sont particulièrement réussis, notamment grâce à un effet d'ombre sur les visages dû à la lumière bleue d'un ordinateur ou celle plus chaleureuse d'une lampe.
Ce cinquième album de la série le triangle secret enclenche une nouvelle dynamique. le dénouement n'est pas encore à portée de main, mais il se rapproche. La suite devrait se révéler des plus intéressantes.
L'infâme mensonge se révèle bien plus actif que les albums précédents. La chasse au trésor reprend de plus belle et fait quelques avancées significatives. La partie la plus contemporaine de l'intrigue est celle qui se révèle la plus dynamique. Outre quelques scènes où l'on peut s'apercevoir que l'alcool nuit à la santé mais peu contribuer à faire certaines découvertes, l'histoire avance grâce à la participation plus active d'un personnage jusque là discret : Norbert Souffir. L'arrivée d'une nouvelle lettre post-mortem de Francis et quelques révélations concernant la loge première rajoutent un peu de sel.
Les intrigues secondaires sont dans l'ensemble plus riches que dans l'album précédent, qui se contentait de quelques miettes en comparaison. Des événements d'importance semblent se jouer au Vatican : ceux-ci annoncent de grandes manoeuvres et l'on est presque déçu de ne pas en savoir davantage l'introduction passée.
L'intermède historique est passionnant. Il permet de croiser les destins d'un alchimiste prévoyant et d'un certain Tomas de Torquemada. L'époque, l'Inquisition, le personnage concerné, la mise en scène de cette séquence, les liens avec l'intrigue principale : tout cela contribue à rendre ce moment-là particulièrement plaisant.
Comme pour les albums précédents, le passage de relais entre les dessinateurs peut être assez facilement identifié. Les dessins de Denis Falque sont particulièrement réussis, notamment grâce à un effet d'ombre sur les visages dû à la lumière bleue d'un ordinateur ou celle plus chaleureuse d'une lampe.
Ce cinquième album de la série le triangle secret enclenche une nouvelle dynamique. le dénouement n'est pas encore à portée de main, mais il se rapproche. La suite devrait se révéler des plus intéressantes.
