Pendant les deux derniers mois de sa vie, à Auvers-sur-Oise, VVG a beaucoup peint, mais aussi beaucoup écrit, à ses proches ou à son ami peintre Gauguin. Combien de riches correspondances avons nous perdu depuis l'arrivée de textos et courriels ? Ce petit livre richement illustré, souvent par des tableaux décrits dans les missives, complète idéalement la belle expo du musée d'Orsay, mais le lecteur n'en saura pas plus sur le suicide de cet immense peintre, que rien ou presque ne laisse présager à la lecture de ses échanges épistolaires.
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