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Critique de Dionysos89


Avec Assassin's Creed, Tome 4, Corbeyran nous fait découvrir un personnage inconnu jusqu'à maintenant, mais introduit à la toute fin du tome précédent, Jonathan Hawk. Une nouvelle ambiance donc, même si elle rappelle franchement celle de l'époque d'Altaïr, et surtout une nouvelle extension (plutôt bien maîtrisée pour le moment, mais soyons méfiants) de l'univers d'Assassin's Creed avec d'autres Assassins, d'autres cellules de la confrérie de nos jours, d'autres enjeux, d'autres artefacts : en revanche, ce « toujours plus » est-il judicieux ? La difficulté sera de savoir où s'arrêter. Et de ce fait, la fin ne nous offre pas de cliffhanger pouvant limiter un peu l'intrigue, ce qui laisse augurer de graves errements par la suite. On peut, par contre, admirer de très beaux dessins pour une ambiance très orientale évidemment avec cette Égypte du XIIIe siècle et c'est d'ailleurs ce qui, pour moi, sauve un peu les meubles ici.

Même si le merchandising et la publicité font de ce quatrième tome le début d'un nouveau cycle, d'une nouvelle trilogie, j'analyse personnellement cette série comme deux cycles, pour le moment, avec Desmond Miles, Altaïr et Aquilus d'un côté, puis Accipiter, El Cakr et Jonathan Hawk de l'autre, deux cycles qui se confondent dans l'intrigue du troisième tome : ce tome central avait permis de réunir les deux Assassins contemporains et deux rétro-sujets majeurs (Altaïr dans le premier tome ne faisait office que d'invité de dernière minute et Accipiter sert de lien entre l'intrigue de Desmond Miles et celle de Jonathan Hawk). Seuls l'avenir et les tomes cinq et six, qui ne manqueront pas d'arriver, nous diront s'il faut vraiment voir les choses ainsi…

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