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Critique de bdelhausse


Dernier tome de l'uchronie centrée sur un New York revisité, ces Retrouvailles sont celles de la mère de Zack avec son fils. Zack est en prison et la mère est en fait l'agent Dekker... est-elle réellement sa mère? Il semble que oui... mais elle reste un agent de la CIA.

On a un tome très "calme", centré sur des intrigues de couloirs, avec un intéressant jeu de ping-pong entre Zack et sa mère, cette dernière et sa hiérarchie, et avec Bob Russell, l'ancien collègue de Charles Kosinski qui a quitté cette dimension grâce à la matière noire.

On a le tome qui boucle l'ensemble des cycles, celui qui est en fait à l'origine des péripéties décrites dans New Byzance et New Harlem... Charles s'enfuit. Il est suivi par Tia Brown, et ce dernier tome de New York nous explique pourquoi.

Reste que la fin est très étrange, et qu'elle crée un paradoxe temporel peu crédible. Je n'en dis pas davantage.

Niveau dessins, c'est mieux parce que plus calme, moins dynamique. On a un beau travail sur les silhouettes statiques et sur les visages, ce qui semble dans les cordes du dessinateur.

Bref, un tome en demi-teinte, mais qui apporte pas mal de réponses (que le lecteur avait déjà plus ou moins anticipées).
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