À l'aube du 2e siècle de notre ère, en Calédonia, les tribus scots sont confrontées à une invasion romaine. Elles s'allient pour l'occasion aux géants Fomôrés, derniers survivants d'un vaisseau échoué jadis près de leurs côtes.
Lucius, centurion romain et commandant en chef de la lXe légion, retient en otage Leta, fille du puissant chef de clan scot Galam . Entre haine et passion, leur relation toxique va conduire Leta à trahir celui qui avait fini par lui accorder sa confiance, précipitant les légions romaines vers une défaite cuisante face aux tribus scots et leurs alliés mythologiques, les géants Fomôrés.
Retrouvez-nous sur le site internet et réseaux sociaux pour plus de BD :
http://www.soleilprod.com/
https://www.facebook.com/soleil.editions
https://www.instagram.com/soleil.bd/
https://twitter.com/editions_Soleil
Achetez cette BD :
-Amazon : https://www.amazon.fr/dp/2302095812/ref=nosim?tag=soleilprodcom-21
-leslibraires.fr : https://www.leslibraires.fr/livre/23353636-1-caledonia-t01-la-ixeme-legion-emmanuel-despujol-soleil
-placedeslibraires.fr : https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782302095816-caledonia-tome-1-la-ixe-legion-eric-corbeyran-emmanuel-despujol/
-Fnac : https://www.fnac.com/a19344306/Caledonia-La-IXeme-legion-Caledonia-T01-Eric-Corbeyran#omnsearchpos=1
-Cultura : https://www.cultura.com/p-caledonia-t01-la-ixeme-legion-9782302095816.html
-BDfugue : https://www.bdfugue.com/caledonia-tome-1-la-ixe-legion
-Canal BD : https://www.canalbd.net/canal-bd_catalogue_detail_--9782302095816
Éric CorbeyranDjillali DefaliUchronie(s) : New York tome 3 sur 4
/5 36 notes
À peine sorti de son long coma, Zack est fait prisonnier par la CIA… L’armée américaine compte bien se servir de lui comme cobaye pour tester les possibilités de la fusion noire, avec comme projet de s’en servir comme arme ultime. Les geôliers de Zack comptent parmi leurs rangs Bill et Véronika Kozinsky, ses parents. C’est Véronika qui détient la clé du destin de Zack : elle lui appr... >Voir plus
/5 36 notes
Résumé :
À peine sorti de son long coma, Zack est fait prisonnier par la CIA… L’armée américaine compte bien se servir de lui comme cobaye pour tester les possibilités de la fusion noire, avec comme projet de s’en servir comme arme ultime. Les geôliers de Zack comptent parmi leurs rangs Bill et Véronika Kozinsky, ses parents. C’est Véronika qui détient la clé du destin de Zack : elle lui appr... >Voir plus
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après Uchronie(s) - New York, tome 3 : RetrouvaillesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6)
Voir plus
Ajouter une critique
Corbeyran finalise sa boucle avec ce tome 3, nous offrant tous les éléments pour comprendre l'arc narratif dans sa globalité. On peut dire qu'il fait preuve d'une imagination certaine pour pondre un scénario pareil. Chaque personnage a sa place dans cet univers et participe à l'intrigue. Une grande place est accordée à Zach Kosinsky et l'aspect familial prend le dessus dans l'histoire sur tous les autres aspects. L'histoire, justement devient légèrement complexe mais elle finit par se concentrer sur le personnage principal.
On notera le bel effort de la part de Corbeyran de nous proposer un concept différent, sans doute novateur dans la bd ( mes connaissances en la matière ne me permettent pas de l'affirmer) et même si ce n'est pas le cas, on ne pourra qu'apprécier cette histoire qui se déroule à plusieurs niveaux, et qui surfe sur des considérations scientifiques cohérentes, et non moins séduisantes. On aime ou on aime pas. Moi j'aime bien; suffisamment pour m'intéresser à New Harlem que j'aurais sans doute dû lire avant celle ci...
On notera le bel effort de la part de Corbeyran de nous proposer un concept différent, sans doute novateur dans la bd ( mes connaissances en la matière ne me permettent pas de l'affirmer) et même si ce n'est pas le cas, on ne pourra qu'apprécier cette histoire qui se déroule à plusieurs niveaux, et qui surfe sur des considérations scientifiques cohérentes, et non moins séduisantes. On aime ou on aime pas. Moi j'aime bien; suffisamment pour m'intéresser à New Harlem que j'aurais sans doute dû lire avant celle ci...
Dernier tome de l'uchronie centrée sur un New York revisité, ces Retrouvailles sont celles de la mère de Zack avec son fils. Zack est en prison et la mère est en fait l'agent Dekker... est-elle réellement sa mère? Il semble que oui... mais elle reste un agent de la CIA.
On a un tome très "calme", centré sur des intrigues de couloirs, avec un intéressant jeu de ping-pong entre Zack et sa mère, cette dernière et sa hiérarchie, et avec Bob Russell, l'ancien collègue de Charles Kosinski qui a quitté cette dimension grâce à la matière noire.
On a le tome qui boucle l'ensemble des cycles, celui qui est en fait à l'origine des péripéties décrites dans New Byzance et New Harlem... Charles s'enfuit. Il est suivi par Tia Brown, et ce dernier tome de New York nous explique pourquoi.
Reste que la fin est très étrange, et qu'elle crée un paradoxe temporel peu crédible. Je n'en dis pas davantage.
Niveau dessins, c'est mieux parce que plus calme, moins dynamique. On a un beau travail sur les silhouettes statiques et sur les visages, ce qui semble dans les cordes du dessinateur.
Bref, un tome en demi-teinte, mais qui apporte pas mal de réponses (que le lecteur avait déjà plus ou moins anticipées).
On a un tome très "calme", centré sur des intrigues de couloirs, avec un intéressant jeu de ping-pong entre Zack et sa mère, cette dernière et sa hiérarchie, et avec Bob Russell, l'ancien collègue de Charles Kosinski qui a quitté cette dimension grâce à la matière noire.
On a le tome qui boucle l'ensemble des cycles, celui qui est en fait à l'origine des péripéties décrites dans New Byzance et New Harlem... Charles s'enfuit. Il est suivi par Tia Brown, et ce dernier tome de New York nous explique pourquoi.
Reste que la fin est très étrange, et qu'elle crée un paradoxe temporel peu crédible. Je n'en dis pas davantage.
Niveau dessins, c'est mieux parce que plus calme, moins dynamique. On a un beau travail sur les silhouettes statiques et sur les visages, ce qui semble dans les cordes du dessinateur.
Bref, un tome en demi-teinte, mais qui apporte pas mal de réponses (que le lecteur avait déjà plus ou moins anticipées).
Voici le dernier tome de la série "Uchronie(s) - New York" et l'avant-dernier de ce projet ambitieux, composé de trois séries parallèles ("Uchronie(s) - New Byzance", "Uchronie(s) - New York", "Uchronie - New Harlem"). Une saga d'anticipation composée de trois trilogies se déroulant toutes à New York et d'un dixième tome sous forme d'épilogue, qui vient parachever le tout. "Uchronie(s) - New Byzance" est dessinée par Eric Chabbert, "Uchronie - New Harlem" par Tibery et "Uchronie(s) - New York" par Djiliali Defali, tandis que les couvertures sont toutes dessinées par Richard Guérineau afin de garantir l'uniformité de la saga au niveau marketing.
Cette fin de série débute par une « grosse » surprise concernant l'identité de la femme qui vient rendre visite à Zack dans le centre de détention de la CIA. Si l'auteur continue de compléter son puzzle, il confirme également qu' "Uchronie(s) - New York" en est la pièce maîtresse. C'est bel et bien d'ici que sont partis les événements qui ont influencé les deux autres réalités de cet univers uchronique. Si l'auteur reconstruit son puzzle avec grand soin au fil des tomes, on aurait peut-être aimé qu'il porte autant d'attention au développement psychologique des personnages car, après neuf tomes, on a un peu l'impression de se retrouver en compagnie d'enveloppes très vides qui existent en différentes version où qui ont voyagé à travers les séries, mais auxquelles on ne s'est jamais vraiment attaché.
Bon, et maintenant ce fameux épilogue ("Uchronie(s) - Epilogue") !
Cette fin de série débute par une « grosse » surprise concernant l'identité de la femme qui vient rendre visite à Zack dans le centre de détention de la CIA. Si l'auteur continue de compléter son puzzle, il confirme également qu' "Uchronie(s) - New York" en est la pièce maîtresse. C'est bel et bien d'ici que sont partis les événements qui ont influencé les deux autres réalités de cet univers uchronique. Si l'auteur reconstruit son puzzle avec grand soin au fil des tomes, on aurait peut-être aimé qu'il porte autant d'attention au développement psychologique des personnages car, après neuf tomes, on a un peu l'impression de se retrouver en compagnie d'enveloppes très vides qui existent en différentes version où qui ont voyagé à travers les séries, mais auxquelles on ne s'est jamais vraiment attaché.
Bon, et maintenant ce fameux épilogue ("Uchronie(s) - Epilogue") !
Un épilogue qui sonne comme une mauvaise fin c'est dommage, surtout au vue du travail narratif de la BD, très conséquence et riche en rebondissements.
Le but de ce dernier tome était de connaître le destin de Bob et de Zack et voir si la CIA parvenait à ces fins. Effectivement, il y a de l'idée là dedans mais la fin signe soit une fin en tout soit une fin à questionnement. La fin du tome 2 était une fin bien meilleure et même si beaucoup de personnages, notamment Tia et Charles, ont une fin dans l'ombre, cela reste un destin.
A voir si l'album épilogue apporte des réponses.
Le but de ce dernier tome était de connaître le destin de Bob et de Zack et voir si la CIA parvenait à ces fins. Effectivement, il y a de l'idée là dedans mais la fin signe soit une fin en tout soit une fin à questionnement. La fin du tome 2 était une fin bien meilleure et même si beaucoup de personnages, notamment Tia et Charles, ont une fin dans l'ombre, cela reste un destin.
A voir si l'album épilogue apporte des réponses.
Je ne suis vraiment pas convaincue. Quoi de neuf pour conclure cette histoire ? rien ! A part le retour du personnage de la mère, une sorte de Deus ex machina, mais qui en fait n'apporte aucune solution. Juste un problème supplémentaire : c'est assez frustrant.
Citations et extraits (2)
Ajouter une citation
Une chose est certaine en tout cas : l’Histoire ne repasse jamais les plats.
- voici pour vous... qu’est-ce que vous faites ?
- je recompte.
- la confiance règne !
[…] ma confiance, je serais bien stupide de l’accorder à une mère qui projette d’éliminer son propre fils !
- je recompte.
- la confiance règne !
[…] ma confiance, je serais bien stupide de l’accorder à une mère qui projette d’éliminer son propre fils !
Videos de Éric Corbeyran (42)
Voir plusAjouter une vidéo
autres livres classés : bande dessinéeVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée
Voir plus
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Éric Corbeyran (401)
Voir plus
Quiz
Voir plus
La Métamorphose
En quelle année est paru pour la première fois "La Métamorphose" ?
1938
1912
1915
11 questions
231 lecteurs ont répondu
Thème : La Métamorphose de Franz Kafka de
Éric CorbeyranCréer un quiz sur ce livre231 lecteurs ont répondu