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Critique de Yvan_T
Voici le dernier tome de la série "Uchronie(s) - New York" et l'avant-dernier de ce projet ambitieux, composé de trois séries parallèles ("Uchronie(s) - New Byzance", "Uchronie(s) - New York", "Uchronie - New Harlem"). Une saga d'anticipation composée de trois trilogies se déroulant toutes à New York et d'un dixième tome sous forme d'épilogue, qui vient parachever le tout. "Uchronie(s) - New Byzance" est dessinée par Eric Chabbert, "Uchronie - New Harlem" par Tibery et "Uchronie(s) - New York" par Djiliali Defali, tandis que les couvertures sont toutes dessinées par Richard Guérineau afin de garantir l'uniformité de la saga au niveau marketing.
Cette fin de série débute par une « grosse » surprise concernant l'identité de la femme qui vient rendre visite à Zack dans le centre de détention de la CIA. Si l'auteur continue de compléter son puzzle, il confirme également qu' "Uchronie(s) - New York" en est la pièce maîtresse. C'est bel et bien d'ici que sont partis les événements qui ont influencé les deux autres réalités de cet univers uchronique. Si l'auteur reconstruit son puzzle avec grand soin au fil des tomes, on aurait peut-être aimé qu'il porte autant d'attention au développement psychologique des personnages car, après neuf tomes, on a un peu l'impression de se retrouver en compagnie d'enveloppes très vides qui existent en différentes version où qui ont voyagé à travers les séries, mais auxquelles on ne s'est jamais vraiment attaché.
Bon, et maintenant ce fameux épilogue ("Uchronie(s) - Epilogue") !
Cette fin de série débute par une « grosse » surprise concernant l'identité de la femme qui vient rendre visite à Zack dans le centre de détention de la CIA. Si l'auteur continue de compléter son puzzle, il confirme également qu' "Uchronie(s) - New York" en est la pièce maîtresse. C'est bel et bien d'ici que sont partis les événements qui ont influencé les deux autres réalités de cet univers uchronique. Si l'auteur reconstruit son puzzle avec grand soin au fil des tomes, on aurait peut-être aimé qu'il porte autant d'attention au développement psychologique des personnages car, après neuf tomes, on a un peu l'impression de se retrouver en compagnie d'enveloppes très vides qui existent en différentes version où qui ont voyagé à travers les séries, mais auxquelles on ne s'est jamais vraiment attaché.
Bon, et maintenant ce fameux épilogue ("Uchronie(s) - Epilogue") !
