Gustavo (je t'appellerai par ton prénom), je suis heureux qu'en tant qu'être humain tu te sois rendu compte de l'inanité de l'obsession matérialiste. Vraiment. Malheureusement, je n'ai pas pu aller jusqu'au bout de ton livre, car ton discours d'être humain libéré de ses entraves sonne faux en comparaison de ta dévotion sincère pour le christianisme. Je comprends que la religion chrétienne puisse t'émanciper des méfaits du matérialisme, moins que ta foi indéboulonnable soit le signe d'une libération spirituelle. Nous n'avons pas besoin d'un livre, si ancien soit-il, pour suivre un chemin de bien. Il suffit d'en faire le choix.
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