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Critique de harukochan
En résumé : Contemporain. Ce roman nous plonge au coeur d'une association queer dont la vocation est la publication du magazine HoMag. Pendant un an réparti sur trois tomes, nous suivons une galerie de personnages plus attachants les uns que les autres (ok David aussi 😏) avec un seul mot d'ordre : diversité !
En détail :
Sur la chronique du tome 1, je me suis arrêtée sur cette joyeuse bande d'HoMag et de leurs bails à n'en plus finir. Cette joie de les retrouver et de poursuivre leurs péripéties. Mais il y a un autre aspect qui fait de cette lecture plus qu'un simple divertissement : la diversité des personnages.
En effet, le récit se base sur une quinzaine de personnages LGBTQ qui ont chacun leur spécificité, leur genre et leur orientation. L'idée n'est pas de faire une galerie représentative, tel un panel, absolument pas. Au contraire, en refermant le livre on se dit justement qu'il est impossible de créer de jolies cases bien définies pour ranger les gens dedans : la vie et les émotions sont multiples et chaque expérience quasiment unique. Au fur et à mesure du récit, les personnages échangent, se rencontrent et bien souvent apprennent les uns des autres.
Le récit ne porte pas que des thématiques LGBTQ, il est aussi question de féminisme, le racisme et de validisme par exemple. Beaucoup de sujets sont abordés, souvent selon plusieurs angles grâce à la diversité des personnages. La discrimination est également récurrente dans le récit et ce n'est pas parce qu'un personnage en subit (parce qu'il est gai par exemple) qu'il n'en fera pas usage lui-même.
Ce récit parle des différences visibles et des invisibles, de celles que l'on peut cacher pour obtenir un répit et celles qui s'affichent aux autres en permanence.
La plupart des protagonistes restent ouverts et cherchent à se déconstruire des différents clichés pour se trouver tout en respectant les autres. Mais le récit n'est pas bienveillant et les protagonistes sont bien souvent malmenés.
De la même autrice : Diluées (collectif de nouvelles).
Dans le même genre : Chocolat blanc et matcha latté, de Rash
En détail :
Sur la chronique du tome 1, je me suis arrêtée sur cette joyeuse bande d'HoMag et de leurs bails à n'en plus finir. Cette joie de les retrouver et de poursuivre leurs péripéties. Mais il y a un autre aspect qui fait de cette lecture plus qu'un simple divertissement : la diversité des personnages.
En effet, le récit se base sur une quinzaine de personnages LGBTQ qui ont chacun leur spécificité, leur genre et leur orientation. L'idée n'est pas de faire une galerie représentative, tel un panel, absolument pas. Au contraire, en refermant le livre on se dit justement qu'il est impossible de créer de jolies cases bien définies pour ranger les gens dedans : la vie et les émotions sont multiples et chaque expérience quasiment unique. Au fur et à mesure du récit, les personnages échangent, se rencontrent et bien souvent apprennent les uns des autres.
Le récit ne porte pas que des thématiques LGBTQ, il est aussi question de féminisme, le racisme et de validisme par exemple. Beaucoup de sujets sont abordés, souvent selon plusieurs angles grâce à la diversité des personnages. La discrimination est également récurrente dans le récit et ce n'est pas parce qu'un personnage en subit (parce qu'il est gai par exemple) qu'il n'en fera pas usage lui-même.
Ce récit parle des différences visibles et des invisibles, de celles que l'on peut cacher pour obtenir un répit et celles qui s'affichent aux autres en permanence.
La plupart des protagonistes restent ouverts et cherchent à se déconstruire des différents clichés pour se trouver tout en respectant les autres. Mais le récit n'est pas bienveillant et les protagonistes sont bien souvent malmenés.
De la même autrice : Diluées (collectif de nouvelles).
Dans le même genre : Chocolat blanc et matcha latté, de Rash
