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Critique de Vexiana
L'histoire avance et Jean-Baptiste est maintenant un adolescent rêveur qui cherche désespérément à fuir sa future condition de tapissier et se fantasme comédien avec, à son bras, la belle Madeleine Béjar.
Ce tome présente moins de liens directs avec la série mère, Masquerouge n'est plus qu'un lointain souvenir dans l'esprit des Parisiens.
L'histoire de Jean-Baptiste est intéressante et j'admire le soucis quasi documentaire des auteurs qui retracent les grandes étapes de la vie de celui qui deviendra Molière. C'est tellement bien fait qu'on se prend presque à rêver que c'est cette version ci qui est réelle.
Toutefois, la narration est laborieuse, la transition entre les scènes est abrupte. On passe de Jean-Baptiste à Monsieur à Richelieu et aux fantasmes de Jean-Baptises sans arrêt et ce n'est pas simple à suivre. Les dialogues sont parfois obscurs également.
Ce tome présente moins de liens directs avec la série mère, Masquerouge n'est plus qu'un lointain souvenir dans l'esprit des Parisiens.
L'histoire de Jean-Baptiste est intéressante et j'admire le soucis quasi documentaire des auteurs qui retracent les grandes étapes de la vie de celui qui deviendra Molière. C'est tellement bien fait qu'on se prend presque à rêver que c'est cette version ci qui est réelle.
Toutefois, la narration est laborieuse, la transition entre les scènes est abrupte. On passe de Jean-Baptiste à Monsieur à Richelieu et aux fantasmes de Jean-Baptises sans arrêt et ce n'est pas simple à suivre. Les dialogues sont parfois obscurs également.
