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Critique de VillardVeronique
Bernard Courtebras nous propose un roman intitulé " La femme du lieutenant ", un titre accrocheur, possédant une clé explicative.
Publié aux Éditions Nombre 7, ce livre vient enrichir le parcours remarquable de l'auteur qui a su transmettre ses propres valeurs voire son analyse éclairée sur ses thèmes de prédilection.
Dévoiler l'histoire me semble incongru...Je laisse donc au lecteur le soin de découvrir ce livre attractif, singulier, subtil, mais aussi tramé par l'humour.
L'auteur habite ses personnages de l'intérieur et possède une fine psychologie.
Il maîtrise son sujet, nous transportant dans un univers atypique.
Si Jean Cocteau disait" Il ne faut pas adopter un style, il faut avoir du style", ici l'écrivain a du style.
Il possède également une voix, celle- ci faisant son unicité et reflétant sa sensibilité.
Le registre de langue est soutenu, le lexique approprié au contexte.
Ce roman d'une excellente intensité dramatique s'adresse à tous.
A lire sans modération.
A découvrir comme on découvre une belle oeuvre d'art.
Publié aux Éditions Nombre 7, ce livre vient enrichir le parcours remarquable de l'auteur qui a su transmettre ses propres valeurs voire son analyse éclairée sur ses thèmes de prédilection.
Dévoiler l'histoire me semble incongru...Je laisse donc au lecteur le soin de découvrir ce livre attractif, singulier, subtil, mais aussi tramé par l'humour.
L'auteur habite ses personnages de l'intérieur et possède une fine psychologie.
Il maîtrise son sujet, nous transportant dans un univers atypique.
Si Jean Cocteau disait" Il ne faut pas adopter un style, il faut avoir du style", ici l'écrivain a du style.
Il possède également une voix, celle- ci faisant son unicité et reflétant sa sensibilité.
Le registre de langue est soutenu, le lexique approprié au contexte.
Ce roman d'une excellente intensité dramatique s'adresse à tous.
A lire sans modération.
A découvrir comme on découvre une belle oeuvre d'art.
