Après avoir lu du même auteur
Ma première nuit à la belle étoile et Requin-Baleine, j'ai été assez déçue par ce
Soleil métallique. Malgré les lettres, on ne sait pas grand-chose de ce que vit la mère dans son isolement, on ne sait rien de l'enfance des trois ados... Il y a des passages touchants, le road-movie jusqu'à la prison, les mots que Thomas crie à sa mère en pleine nuit après avoir évité de la voir au parloir, l'amour qui se tisse entre Violaine et Zoran, la foule entre manif et carnaval, et le fameux javelot, aussi inutile qu'indispensable, aussi encombrant que symbolique... Mais chaque personnage semble seulement esquissé, il y a trop de questions sans réponse, et c'est ce qui m'a gênée dans cette histoire.
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