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Critique de Danage
Un polar distrayant, loin de l'excellent Otages de la peur du même auteur.
C'est toujours un plaisir de retrouver Joe Pike, ses blessures (son père violent, son départ du LAPD… ), son ami Elvis Cole, et son instructeur, à qui il avait sauvé la vie alors qu'il n'était qu'un « bleu ».
Dialogue d'alors avec celui qui lui doit la vie
« -Pourquoi tenez-vous à protérer les gens, agent Pike ? Vous vous êtes pris tellement de coups de pied au cul que vous avez besoin de compenser ?
(…)
- Je ne peux pas blairer les voyous
- Et vous voulez être le type qui leur botte le cul
- Oui
- du moment qu'on reste dans le cadre fixé par la loi
(…)
- Vous n'êtes pas très bavard, hein ?
- Non, chef
- Bon. Je parlerai pour deux. Et maintenant, en voiture. On a des gens à protéger. »
Joe Pike doit protéger une jeune fille témoin, mais le doute et l'angoisse plombent leur cavale, même le FBI ne semble plus digne de confiance.
La jeune fille : une fille de riche qui cherche à attirer l'attention de son père est assez caricaturale. Joe Pike, modèle de laconisme et de violence, est sa propre caricature.
Un chouïa d'émotion puisqu'on les sent plus proches qu'ils ne devraient l'être. « D'ici une mauvaise heure, Pike et la fille repartiraient ensemble »
Un brin décevant.
C'est toujours un plaisir de retrouver Joe Pike, ses blessures (son père violent, son départ du LAPD… ), son ami Elvis Cole, et son instructeur, à qui il avait sauvé la vie alors qu'il n'était qu'un « bleu ».
Dialogue d'alors avec celui qui lui doit la vie
« -Pourquoi tenez-vous à protérer les gens, agent Pike ? Vous vous êtes pris tellement de coups de pied au cul que vous avez besoin de compenser ?
(…)
- Je ne peux pas blairer les voyous
- Et vous voulez être le type qui leur botte le cul
- Oui
- du moment qu'on reste dans le cadre fixé par la loi
(…)
- Vous n'êtes pas très bavard, hein ?
- Non, chef
- Bon. Je parlerai pour deux. Et maintenant, en voiture. On a des gens à protéger. »
Joe Pike doit protéger une jeune fille témoin, mais le doute et l'angoisse plombent leur cavale, même le FBI ne semble plus digne de confiance.
La jeune fille : une fille de riche qui cherche à attirer l'attention de son père est assez caricaturale. Joe Pike, modèle de laconisme et de violence, est sa propre caricature.
Un chouïa d'émotion puisqu'on les sent plus proches qu'ils ne devraient l'être. « D'ici une mauvaise heure, Pike et la fille repartiraient ensemble »
Un brin décevant.
