Les lettres d'
Arthur Cravan à Sophie Treadwell vibrent de sa fureur et de sa fièvre, de son effervescence, de sa fascination pour la vitesse et le mouvement. La dernière, une carte postale qui annonce un long voyage, porte les dernières lignes que l'on connaît de lui.Les publier indépendamment les lettres est une merveilleuse idée et
Adieu, je pars à la gare est un livre précieux, un objet conçu et fabriqué avec soin, de sa couverture d'un noir mat aux fac-similés et aux ex-libris glissés entre les pages. Un vrai trésor et un beau cadeau.
Commenter  J’apprécie         60