Ca y est, je renoue avec le Cyrulnik de la résilience. Et, en fait, ça fait du bien. Même si je trouve le lire répétitif, une centaine de pages m'auraient suffi, pour avoir ma dose d'espoir, de confiance, dans le fait que même les pires situations, sévices, souffrances peuvent trouver à être soutenue, étayée, et toujours par cette merveilleuse culture, qu'on peut fonder ou refonder constructive, valorisante, revalorisante. le récit, l'écriture, l'imaginaire, la mise en forme, la mise en scène, tout cela est prodigieux, outil prodigieux, au-delà du plaisir, une nécessité absolue.
Trouver des étincelles, souffler dessus, remanier les ombres, modeler la boue...
Allez, merci Boris. Tes livres et tes mots, crois-le fort, auront apporté beaucoup à beaucoup.
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