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Critique de Lexx54000
C'est l'histoire banale d'une femme et d'un homme qui se rencontrent. L'homme est marié et a une petite fille, la femme est en couple et va se marier. Simple voisin, au fil de rencontre, de soirées, ils se découvrent des regards, puis une passion un amour grand, très grand, voire absolu, pour arriver à la destruction.
Lire "On ne meurt pas d'amour" c'est avoir devant ses yeux une passion dévorante entre deux êtres qui s'aiment mais qui s'épuisent. de la naissance d'un amour à la lente dégradation de celui-ci.
Avec un style lapidaire, une écriture simple, courte, dépouillée de toute fioriture. Une écriture originale, qui se lit vite, très vite comme cette histoire d'amour.
Géraldine Dalban-Moreynas a un style qui fait surgir l'urgence des sentiments. Avec un effet astucieux d'utiliser "il" et "elle", on ne connaîtra jamais personnellement les protagonistes. Comme une histoire écrite dans l'urgence à la façon d'un compte à rebours.
Un premier roman qui sent l'urgence des mots, comme un coeur qui palpite à plein régime où le bonheur semble resplendir mais où la peine prend le dessus pour tout détruire, à commencer par "elle".
Lire "On ne meurt pas d'amour" c'est avoir devant ses yeux une passion dévorante entre deux êtres qui s'aiment mais qui s'épuisent. de la naissance d'un amour à la lente dégradation de celui-ci.
Avec un style lapidaire, une écriture simple, courte, dépouillée de toute fioriture. Une écriture originale, qui se lit vite, très vite comme cette histoire d'amour.
Géraldine Dalban-Moreynas a un style qui fait surgir l'urgence des sentiments. Avec un effet astucieux d'utiliser "il" et "elle", on ne connaîtra jamais personnellement les protagonistes. Comme une histoire écrite dans l'urgence à la façon d'un compte à rebours.
Un premier roman qui sent l'urgence des mots, comme un coeur qui palpite à plein régime où le bonheur semble resplendir mais où la peine prend le dessus pour tout détruire, à commencer par "elle".
