Quand
San-Antonio découvre Chicago, tous les clichées y passent : les maffieux qui ont pignon sur rue, les flics ripous, les danseuses qu'on assassine, les ascenseurs gigantesques, les portes où il est écrit "private" comme dans les films, la réputation du french lover que
San-Antonio se fait un devoir de défendre, etc. Ce premier
San-Antonio américain, c'est un peu Les gendarmes à New-York avec quelques cadavres en plus. le modèle américain, si usé aujourd'hui, reste mystérieux pour le Français moyen qu'est le fiston de la brave Félicie. Il s'y casse quelques dents mais s'y habitue vite. Là où il y a de la castagne et de la fesse,
San-Antonio est à la maison, de toute façon.
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