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Critique de lecassin


Nous sommes dans la grande période San-Antonio ; enfin, celle que je préfère…
Malgré tout, après l'excellent « Bérurier au sérail », on pouvait s'attendre à du moins bon pour ce « La rate au court bouillon », qui ne me rappelait rien … Et c'est le cas. Ce n'est pas mauvais. On retrouve pas mal d'ingrédients qui font le très bon : calembours, notes de bas de page, whisky et petites pépées, quelques digressions et énumérations comme seul sait le faire Frédéric Dard, mais bon… On a l'impression que ça n'avance pas. Pourtant l'intrigue se tient.

Ça commence fort : le Palm Beach Hotel, une rencontre (et plus car affinités), la belle Gloria Victis. Elle est victime d'une tentative rapt, mais Zorro San-Antonio veille… Il faut dire que la belle n'est autre qu'une riche héritière qui n'en est pas à sa première tentative d'enlèvement.
Mieux, elle est invitée sur l'île du Konkipok, dans l'archipel des Galapagos où se déroulera la pendaison de crémaillère organisée par le richissime armateur Okapis : il a acheté l'île du Konkipok et l'a littéralement transformée en paradis terrestre. Un grand rendez-vous de têtes couronnées…
Gloria, apeurée, demande à son chevalier servant de l'accompagner. Et lui, vous le connaissez…

Au final, une intrigue qui manque un peu de peps , des longueurs et un final bâclé (pour ne pas dire raté)…
Jusqu'à la couverture Gourdon de cet avant-dernier "type B2" n'est pas à ranger dans les meilleures.
M'étonne pas qu'il ne me reste rien de cet épisode…
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